Une princesse contrainte au « second choix »
A quelques jours de la rentrée scolaire, la presse du Royaume se fait l’écho d’une nouvelle de la plus haute utilité publique : la...
Grèce : les étudiants en lutte contre l’ouverture d’universités privées
Importante mobilisation en Grèce. De nombreuses facultés à travers le pays ont été occupées et, tous les jeudis depuis début janvier, des arrêts de...
Les vautours du coronavirus 1
Dans mon quartier-village du centre-ville de Liège, les habitants ont constitué depuis des années une mailing-liste pour toutes les communications utiles. En ces temps...
En Espagne aussi, formation professionnelle et qualifications à la botte des patrons
Le 14 décembre dernier, le Conseil des Ministres espagnol a approuvé le Projet de Loi organique de la Formation professionnelle et des qualifications, désormais soumis aux amendements au Congrès, dans un délai qui se termine le 15 février. Ce projet fut précédé de divers brouillons, durant près d'un an, jusqu'à ce que, plus ou moins clairement, son contenu soit accepté par les « agents sociaux », c'est-à-dire les patrons et les syndicats. Des militants de la Confédération des Syndicats des travailleurs de l'Enseignement ( « Stes ») analysent ce projet de loi pour nous. Ils portent un regard critique sur cette énième version du processus trans-européen de marchandisation de l'école, mais aussi sur le manque dramatique de vigilance de la part de certaines organisations syndicales.
L’AGCS
Un accord redoutable se négocie actuellement à l'OMC. Son nom : l'AGCS
(accord général sur le commerce des services)
Tous les services sont concernés. Y compris les services publics les plus
vitaux : santé, éducation, services sociaux, environnement....Il s'agit d'un
véritable assaut sur les acquis sociaux et mainmise programmée sur les biens
communs de l'humanité (eau, ressources naturelles, énergie).
Comme pour l'Ami (accord multilatéral sur linvestissement), cet accord
démocraticide peut encore être stoppé. Il est encore temps d'obtenir la
suspension de la plus ambitieuse des négociations de l'histoire de l'OMC.
Pendant que tous les yeux sont braqués sur l'Irak et les Etats-Unis, l'OMC
étend son emprise sur le commerce mondial.
Inscriptions : toujours des pratiques douteuses
"Certaines écoles mettent en œuvre des stratégies de dissuasion à l'égard de candidats issus de classes sociales moins favorisées. C'est une discrimination qui se...
Vive la concurrence ?
Alain Destexhe est peut-être un franc tireur. Certainement pas un tireur d’élite. Quand il se base sur l’enquête PISA pour conclure que le réseau libre est plus performant que l’officiel, l’Aped tient à nuancer ses « constats » et, surtout, à contester la conclusion principale qu’il en tire.
Ecole publique et marché
L'un des principaux objectifs de la conquête de l'Etat par le néo-libéralisme politique est la transformation des services publics en marché. Ce processus de...
Prêts étudiants aux Etats-Unis : les nouveaux « subprimes » ?
Bienvenue dans le monde enchanté de l’enseignement universitaire aux Etats-Unis où l’ensemble des prêts étudiants a représenté l'an dernier plus de 1.000 milliards de dollars, soit une moyenne de 25.000 dollars par étudiant.
Mais la crise économique et financière s’est aussi invitée au pays du hamburger et de la marchandisation sans frein de l’enseignement. Au 31 mars, le total des sommes empruntées et encore en souffrance s'élevait à 904 milliards de dollars. Les prêts étudiants sont ainsi devenus le deuxième poste d'endettement des ménages américains en 2010, derrière les emprunts immobiliers, mais devant les emprunts contractés par carte de crédit.
L’enseignement pourrait bien devenir sous peu la prochaine bulle spéculative à exploser.
L’article qui suit est paru ce 10 juillet 2012 sur le site ww.www.lemonde.fr sous la signature de Mathilde Damgé et donne une vue saisissante de ce que devient un enseignement abandonné aux lois du marché… et aux financiers de tout poil.
Mixité sociale : une étude scientifique démontre la faisabilité des propositions de l’Aped
Une étude scientifique réalisée conjointement par Nico Hirtt (Aped) et Bernard Delvaux (Girsef) démontre la faisabilité des propositions de l'Aped en matière de lutte contre la ségrégation scolaire : proposer aux parents une école proche et socialement mixte, plutôt que de laisser jouer seulement le marché scolaire. Nous vous proposons un résumé de cette étude.