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Quasi-marché scolaire

Décret Inscriptions et pratiques irrégulières

Inscriptions : les pratiques détestables de certaines écoles

S'il y en a qui se demandent encore pourquoi il faut en finir avec le marché scolaire, nous les invitons à visionner cette vidéo...

« Flamand ? Francophone ? Apprenons à vivre ensemble !»

Vous êtes (futur) enseignant ou éducateur ? La thématique des préjugés entre Flamands et francophones vous interpelle ? Alors vous serez certainement intéressé par la journée d’étude organisée par École Sans Racisme le samedi 7 mars à l’Université Libre de Bruxelles.

En finir avec les mystifications du marché scolaire

Ecoles contraintes de garnir leur vitrine d’offres « tape-à-l’œil » plutôt que de se centrer sur leur mission pédagogique, marketing éhonté entrainant une gabegie de moyens...

La carte scolaire : ses faiblesses et comment l’améliorer

Dans les débats, en Belgique, autour de la nécessité ou non de réglementer davantage les procédures d'inscription des élèves (et les pratiques de recrutement des écoles), un argument est souvent avancé par les défenseurs libéraux du statu quo : « regardez en France, ils ont leur carte scolaire et ça ne marche pas. Elle ne garantit pas l'équité sociale et, d'ailleurs, Sarko va la supprimer ». Il est en effet intéressant, pour alimenter nos débats, de nous pencher sur ce qui se passe en France.

Meirieu : « Arrêtons de totémiser le numérique ! »

"L’école que j’appelle de mes vœux est une école de la solidarité. La concurrence sera supplantée par une solidarité plus grande, où les élèves...

Décentralisation rime-t-il avec modernisation ou avec marchandisation ?

Vu depuis Paris, le débat sur la décentralisation de l'enseignement pourrait sembler n'être qu'un épisode de plus dans un feuilleton ennuyeux : tous les deux ou trois ans, un (nouveau) ministre de l'Education tente de moderniser un appareil scolaire obsolète, mais il s'oppose à des enseignants désespérément conservateurs, pour qui toute réforme - sauf toutefois l'augmentation du budget de l'Education - constitue une menace intolérable contre l'école républicaine, laïque, publique, gratuite et obligatoire.

Prêts étudiants aux Etats-Unis : les nouveaux « subprimes » ?

Bienvenue dans le monde enchanté de l’enseignement universitaire aux Etats-Unis où l’ensemble des prêts étudiants a représenté l'an dernier plus de 1.000 milliards de dollars, soit une moyenne de 25.000 dollars par étudiant. Mais la crise économique et financière s’est aussi invitée au pays du hamburger et de la marchandisation sans frein de l’enseignement. Au 31 mars, le total des sommes empruntées et encore en souffrance s'élevait à 904 milliards de dollars. Les prêts étudiants sont ainsi devenus le deuxième poste d'endettement des ménages américains en 2010, derrière les emprunts immobiliers, mais devant les emprunts contractés par carte de crédit. L’enseignement pourrait bien devenir sous peu la prochaine bulle spéculative à exploser. L’article qui suit est paru ce 10 juillet 2012 sur le site ww.www.lemonde.fr sous la signature de Mathilde Damgé et donne une vue saisissante de ce que devient un enseignement abandonné aux lois du marché… et aux financiers de tout poil.

L’impact négatif de la ségrégation sur les performances scolaires

La ségrégation sociale n'est pas seulement défavorable à la rencontre de la diversité sociale et culturelle ou à l’apprentissage du « vivre-ensemble » ; son impact sur...
Mixité : une étude scientifique démontre la faisabilité des propositions de l'Aped

Mixité sociale : une étude scientifique démontre la faisabilité des propositions de l’Aped

Une étude scientifique réalisée conjointement par Nico Hirtt (Aped) et Bernard Delvaux (Girsef) démontre la faisabilité des propositions de l'Aped en matière de lutte contre la ségrégation scolaire : proposer aux parents une école proche et socialement mixte, plutôt que de laisser jouer seulement le marché scolaire. Nous vous proposons un résumé de cette étude.

Au cœur de la réforme de l’enseignement par le haut 

Aujourd'hui des fermetures d'écoles, hier l'augmentation du temps de travail des enseignants, demain la privatisation des écoles professionnelle. Plus d'élèves par classe, suppression des classes d'orientation, des heures de rattrapage et des cours en petits groupes. Réductions budgétaires pour les garderies, la rénovation des bâtiments scolaires et la formation continue, ou par le biais de regroupements de filières. Examens centralisés et critères nationaux. Jamais on n'avait vu autant de chambardements en aussi peu de temps. Chaque mois, les ministres de l'enseignement envoient un nouveau taureau dans la rue et les intéressés courent derrière pour l'arrêter : une manifestation presque chaque semaine, des campagnes d'information pleines de fantaisie et des articles de presse provoquant l'indignation. On n'avait pas autant protesté en 50 ans. Si ça continue comme ça, ce sera bientôt un rituel aussi banal que la procession annuelle de la Fête-Dieu : ils gouvernent, nous protestons.

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