Carte scolaire : un vrai choix de société

Depuis quelques semaines, le débat sur l'Ecole s'est centré, en France, sur la question de la carte scolaire. Même si la façon d'entrer dans ce débat a été souvent empreinte de démagogie politicienne, il se profile un vrai choix de société qu'il faut prendre au sérieux. Cette question suscite des inquiétudes chez les enseignants, les parents d'élèves les chefs d'établissements, les élus et les organisations syndicales. Elle fait réagir tous les acteurs de l'Ecole.

Jean-Michel Blanquer : sous le vernis, le projet de société

Visiblement, L’émission politique du jeudi 15 février sur France 2 s’inscrit dans le plan de communication du gouvernement français. Pour parer à la perte...

La tolérance à l’ignorance dans l’institution scolaire

Combattre l’ignorance est la raison d’être de l’école. Baisser les bras, renoncer à cette lutte serait pour elle s’en prendre au fondement de sa...

Grève dans l’enseignement français le 15 mai

Les fédérations syndicales de l'enseignement français appellent à une grève générale le 15 mai prochain, pour protester contre les suppressions de postes décrétées par...

Communisme au 21ème siècle : construire une école démocratique

Les communistes préparent leur congrès et s'interrogent sur la pertinence de construire un projet communiste pour le 21ème siècle et sur son contenu. Mais nous pourrions oser cette question : que signifie aujourd'hui être communiste ?.

Au lendemain de l’attentat contre Charlie Hebdo…

A l’annonce de l’attentat de mercredi dernier au siège de Charlie Hebdo, deux premières pensées, immédiates. Un : j’ai perdu quelques-uns de mes dessinateurs de presse français préférés – je lis actuellement “Le capitalisme en 10 leçons”, de Michel Husson, illustré par Charb -, ainsi qu’un Bernard Maris, alias Oncle Bernard, l’économiste hétérodoxe de Charlie. Deux : c’est un boulevard de plus qui s’ouvre devant l’extrême-droite.

Aux urnes citoyens

Jean-Pierre Charles répond à l'article de François Dubet dans Le Monde du 23.01.07, intitulé "pour en finir avec l'élitisme scolaire".

Lettre d’un enseignant écœuré

Le lycée dans lequel j’enseigne a mis en place depuis la rentrée dernière (2010) le dispositif fer de lance de la réforme de l’enseignement des langues vivantes : les fameux groupes de compétences. Nous avons ainsi cédé à l’insistance de l’inspection et de l’administration à nous imposer une manière de travailler que ne rend obligatoire aucun texte officiel, puisque ces derniers se contentent de les proposer ou de les recommander.[[« Les enseignements de langues vivantes étrangères peuvent être dispensés en groupes de compétences, » d’après l’article D312-17 du code de l’éducation]]

Suicide d’un professeur à Marseille

Un professeur d'électronique d'un lycée marseillais a mis fin à ses jours dimanche, "le métier tel qu'il est devenu" ne lui étant "plus acceptable...

France : étudiant mutilé, policier relaxé

L'Aped/Ovds se joint volontiers à l'indignation du réseau des instituteurs en résistance, qui publie la lettre ouverte suivante. En novembre 2007, un policier cagoulé et...

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