Vidéo : l’école et la pauvreté

Le 21 février dernier, l'Aped-Bruxelles organisait une conférence-débat sur le thème : "L'école peut-elle faire face à la pauvreté ?". La vidéo de cette...

Souffrances des parents face au décret ‘inscriptions’

Si on remonte dans le temps, avant le décret inscriptions, les directions des écoles qui se voulaient élitistes pratiquaient une sélection à l’inscription, quelle...

Savoirs et citoyenneté critique à l’ère de la globalisation capitaliste

Si un autre monde est possible et souhaitable, alors l'école démocratique, celle que nous appelons de nos voeux, devrait se donner pour mission de transmettre aux jeunes les connaissances et les compétences qui permettent de comprendre et de participer à la transformation de ce monde. Mais sous le règne du capitalisme, l'école remplit des fonctions bien différentes: reproduire les conditions idéologiques, sociales, économiques de la société en place. À l'heure de la globalisation, ces fonctions renforcent leur emprise sur le système d'enseignement, tendent à le hiérarchiser et à l'instrumentaliser au service de la compétition économique.
Dans ces conditions, la lutte a-t-elle un sens, est-elle possible? Oui, car l'école démocratique et l'école capitaliste ne sont pas des vues idéalisées, qui s'excluent totalement l'une l'autre. Elles sont les deux pôles d'une contradiction fondamentale, propre à l'école actuelle, et qui fait de chaque combat sur les contenus, les méthodes, les structures et les moyens de l'enseignement, la transposition de la lutte des classes dans le champ éducatif

Le lamentable bulletin UNICEF de la Belgique se confirme

C’est l’UNICEF qui nous avait mis la puce à l’oreille, fin 2002. Dans un de ses rapports, notre pays était pointé du doigt pour...

Le quasi-marché scolaire belge, facteur structurel d’iniquité scolaire

Une partie des causes de la ségrégation sociale scolaire réside dans la ségrégation sociale résidentielle. Cependant, de nombreux auteurs ont observé, en Belgique comme...

Eduquer à la dignité de penser

Dans un présent social aux prises avec des problèmes majeurs de dette, de chômage, d’inégalités et dans un environnement où l’avenir de la planète elle-même dépend d’un agir humain, la question de l’école et de la formation prennent une dimension plus urgente encore, devenant plus explicitement enjeu politique et social d’avenir. Odette Bassis

CO2, embouteillages et libéralisme scolaire

Hier, vers 16h30, je roulais sur le ring de Nivelles où, comme toujours à cette heure-là, se forment quelques bouchons à l'approche de ronds-points...

Etre des praticiens réflexifs ? Chiche !

Enseigner peut être un métier passionnant, un des plus beaux du monde… Métier collaboratif, varié, créatif, riche de sens, résolument tourné vers l’avenir, combinant la...

Flandre : talents gâchés

Dans un an, ce sont les élections et nous en avons eu conscience, les discussions passées sur les réformes scolaires offrent un triste spectacle. Les hommes et femmes politiques ont été surtout préoccupés par leurs propres feuilles de route et ont oublié l’essentiel : la qualité de l’enseignement et le bien-être de nos élèves et enseignants. C’était une véritable mascarade. Rien n’est encore décidé, il est question seulement d’un plan pour l’avenir, rien de plus. D’ailleurs, les différents ténors expliquent l’accord d’une manière contradictoire.

Formation des enseignants : que penser du projet Marcourt ?

Jean-Claude Marcourt (PS), ministre de l’enseignement supérieur, soumet à ses collègues du gouvernement de la Communauté française un avant-projet de réforme de la formation initiale des enseignants (FIE). Le débat politique commence à peine. A ce stade, il est trop tôt pour prendre position avec précision. Il est cependant utile de rappeler notre position de départ à propos de ce vaste chantier. Et de poser dès à présent quelques questions.

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