Les classes uniques ont toujours été révolutionnaires !
Le multi-âge était le thème de l’après-midi syndicale organisée par le SNUipp de Guéret (Creuse). Vaste et complexe thème. Dans la matinée, Nico Hirtt...
Des ateliers de soutien à la lecture au goût d’École ouverte
En 2016, Marie Wibrin a initié dans l’école de ses enfants un projet de soutien à la lecture à destination des élèves de 1ère...
Jasmin et Dignité
L’écrivain français Gabriel Charmes, en visite au pays du Cham en 1882, décrivant un nouvel esprit qui s’installait écrivait: «…l’inspiration à l’indépendance domine les esprits. J’ai pu observer, pendant ma présence à Beyrouth, les jeunes musulmans s’occuper à construire des hôpitaux et des écoles et à travailler pour le développement de la nation. Le plus important est que le communautarisme et le racisme étaient bannis. On pouvait trouver des Arabes chrétiens travailler dans les associations musulmanes… ».
La participation des jeunes à l’école, nous sommes pour !
Participation des jeunes à l'école, éducation à la citoyenneté, apprentissage de la démocratie ... quelques termes dont se gargarise le monde de l'enseignement depuis le tournant des années 1990. Des termes devenus, comme on dit, très " tendance ". Dans les discours et les décrets politiques comme sur le terrain, se multiplient les expériences de participation des jeunes à la vie de leur école : délégués de classe, conseils d'élèves, conseil de participation, pédagogie du projet, parrainage-tutorat des jeunes élèves par les aînés, actions en tous genres pour l'environnement, contre le racisme, etc.
Combattre l’homophobie à l’école
Nous nous battons afin que chaque jeune puisse acquérir les savoirs et les compétences qui donnent force pour comprendre le monde et pour participer à sa transformation vers plus de justice. Nous ne pouvons tolérer l’homophobie car elle est une insulte à l’intelligence. Nous ne pouvons la supporter car elle est – avec les autres imbécillités que sont le racisme et le sexisme – source d’inégalité, précisément dans la sphère dont nous nous occupons : l’école.
Les enjeux cachés de la participation
N'est-il pas curieux que ce soient les pouvoirs -directions d'écoles, pouvoirs organisateurs, réseaux et ministres- qui poussent les jeunes, leurs parents et les enseignants à la participation ? D'où vient cette vague ? Quelle lame de fond peut-elle bien cacher ?
De participatie op het terrein
Om de jongerenparticipatie op school te meten, zullen we de concrete realiteit op het terrein onderzoeken. Dat zal ons ook een beeld geven van de impasse en de omvang van de behoeften in de scholen.
Comment tarir les sources de la violence scolaire ?
Depuis quelques années, la violence scolaire fait régulièrement la une de l'actualité. Aux Etats-Unis, toujours à l'avant garde, des classes ont été mitraillées à plusieurs reprises par des jeunes qui avaient «disjoncté». Mais l'Europe est loin d'être à l'abri. En France par exemple, le phénomène a pris une telle ampleur que le Président Chirac s'est senti obligé de l'évoquer lors de son discours devant les parents de l'enseignement public en congrès à St Etienne le 25 mai dernier (1). La Belgique non plus n'est pas épargnée. De nombreux incidents graves ont éclaté ces dernières années: profs agressés ou menacés avec une arme, sans compter la mort du jeune Celal abattu en plein cours par un de ses condisciples.
Een overzicht
Onder de noemer van opvoeding tot burgerschap vindt men de meest schitterende initiatieven en de meest bedenkelijke, al zijn ze vaak goed bedoeld. De motivatie mag dan een beslissende rol spelen om een project tot een goed einde te brengen, het zijn de kritische instelling, de doelstellingen en de middelen die vooruitgang mogelijk maken in de richting van meer democratie. Met deze bedenkingen in het achterhoofd willen we een overzicht maken van wat er in de scholen op dit vlak gebeurt.
De la relativité du temps… scolaire
Profitant de la canicule de juillet, la ministre de l'Enseignement vient d'annoncer que, pour organiser les activités de «remise à niveau», les écoles pourront réduire les «heures» de cours à 45 minutes au lieu de 50. Progrès démocratique ou bricolage dérégulateur ?