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Classement géographique

Simonet et les recteurs à Mexico

La semaine dernière, Marie-Dominique Simonet (CDH), ministre de la Communauté française de Belgique – enseignement supérieur, recherche et relations internationales -, conduisait une délégation...

PISA : France et Belgique, champions de l’inégalité

Le service d’étude de l’Aped livre son analyse des données fournies par l’enquête PISA 2012. Ce travail confirme la situation catastrophique de l’enseignement en Belgique et en France en matière d’équité sociale. Il montre également comment les mécanismes de ségrégation — sociale ou académique — sont responsables de la reproduction de ces inégalités scolaires.

France : à quand le changement pour les enseignants désobéisseurs ?

Dans les colonnes de notre trimestriel l'Ecole démocratique, comme sur ce site, nous avons souvent fait écho au combat des enseignants-désobéisseurs, qui résistaient notamment...

Enseignants bulgares en grève de la faim

Du 21 au 24 novembre, les enseignant(e)s affilié(e)s au Syndicat des enseignants bulgares (SEB) ont manifesté en face du Conseil des ministres pour protester...

Espagne : « Qualité », « équité », « responsabilité »…

Les données nullement encourageantes sur la qualité et les résultats du système éducatif espagnol, fournies par les récents rapports comme ceux de "Pisa 2003" et "l'Espagne dans l'Europe des 25" vont obligatoirement avoir une incidence sur le débat autour des nouvelles propositions du Ministère de l'Education. D'une part, elles contredisent le discours optimiste qui apparaît dès l'introduction du document ministériel, lorsqu'il prétend se situer dans la continuité des supposés succès des précédentes réformes, et limite sa propre portée, à des retouches mineures de la "populaire" LOCE, à la récupération de quelques références idéologiques de l'ancienne LOGSE et à l'inévitable adaptation que, soi disant, exigent les permanents changements économiques et sociaux. D'autre part, l'évocation des objectifs fixés par l' Union Européenne pour 2010 qui, était en principe, une simple justification à la nouvelle initiative de réforme, peut alors jouer un rôle plus déterminant dans la dernière articulation des propositions. Si l'on doit reconnaître que les résultats n'étaient pas aussi bons qu'on le prétendait, s'il en résulte que les écarts avec les pays leader au lieu de se réduire augmentaient, il paraît évident, qu'au delà du "libre" débat national, les mesures finalement adoptées prennent plus en compte les conseils des institutions internationales qui, en définitive, fixent les véritables orientations. On ne doit cependant pas se faire trop d'illusions, ni sur le caractère de cette intervention et ce contrôle externe, ni sur le sens que peuvent prendre les pressions afin d'obtenir un certain consensus entre gouvernement et opposition quant aux lignes fondamentales de l'action à mener.

Danemark : les profs jetés à la rue

Depuis le 1er avril, près de 70,000 profs de l'enseignement public danois sont privés de leur travail suite au lock-out imposé par leur employeur, la Confédération des pouvoirs locaux. Ce lockout est le dernier acte d'une série de mesures d'austérité prises par le gouvernement de centre-gauche dirigé par le premier ministre social-démocrate Helle Thorning-Schmidt.

Selectie aan poort universiteit

De Nederlandse Tweede Kamer maakt de weg vrij voor meer selectie van studenten aan de poort van het hoger onderwijs. Ook mogen universiteiten en...

Les vautours du coronavirus 3

Ce lundi 13 avril, le JT de la mi-journée de la RTBF, chaîne publique, consacre un sujet de 2 minutes 30 à la plate-forme...

Lettre à ceux qui aiment l’école

M. le Ministre, en réponse à votre livre, je vous écris une lettre que vous n'aurez peut-être pas l'envie ou l'intelligence de lire. Je vous écris pour vous dire toute la peine et l'affliction que vos réformes annoncées me font et plus particulièrement celles qui concernent l'École publique.

Une seule solution démocratique : l’école commune

L’éducation scolaire des jeunes générations pose trois questions :
  1. Qu’est-ce qu’on transmet ?
  2. À qui le transmet-on ?
  3. Comment le transmet-on ?
Contribuant à modeler l’avenir de nos sociétés, le contenu des transmissions (question 1) devrait constituer un objet de délibération démocratique et pas seulement de controverses expertes. Le fait que la réponse à cette première question reste relativement indéterminée n’empêche pas toutefois de mettre en travail les questions 2 et 3 : les exigences de l’appropriation des invariants de la culture écrite et de la formation de la pensée réflexive, ainsi que les contraintes inhérentes à l’état du développement des connaissances et de la société, configurent suffisamment, à cet égard, les contenus à transmettre. Je m’intéresse ici à la question 2, en sachant le caractère tout aussi décisif de la question 3[[Cf. notamment Jean-Pierre Terrail, Les Voies de la démocratisation scolaire.]].

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