Oser penser à gauche
HEINE Sophie, Oser penser à gauche. Pour un réformisme radical, Aden, 2010, 190 p.
Ce petit essai veut contribuer à une refondation de la pensée...
L’apprentissage ou les apprentissages ?
L'opinion publique semble approuver très majoritairement la mesure annoncée par le gouvernement sur la mise en place de l'apprentissage à 14 ans. Gageons que...
Belgique: droits de l’enfant bafoués
Le 11 juin dernier, le Comité des droits de l’enfant de l’ONU a communiqué pas moins de 88 recommandations à la Belgique (56 de...
Dixi et animam meam salvavi…
Cet article commence par une défense de l'enseignement de la grammaire par
Gramsci, c'est-à-dire par la défense par un progressiste
incontesté d'un enseignement que de nombreux de ceux qui se
prétendent progressistes maintenant refusent. Et il continue sur
la même voie en montrant que, sur des points fondamentaux , de
nombreux progressistes auto-proclamés actuels prennent exactement
le contre-pied de ceux dont ils se réclament . Il s'attaque
ensuite notamment aux conceptions historiques et sociologiques
nées dans les années 60/70 qui sont la matrice des fausses
interprétations obscurantistes se présentant sous un aspect
extrémiste. Je pense notamment ici aux conceptions historiques
développées par Louis Legrand et , en sociologie, au courant
initié par Baudelot et Establet dans L'école capitaliste en
France et poursuivi maintenant par exemple par le livre récent de
Jean-Pierre Terrail L'Ecole en France Crises, pratiques,
perspectives.
2012-2022 : au devant des catastrophes
Yves Cochet, Jean-Pierre Dupuy, Susan George, Serge Latouche, Où va le monde ? 2012-2022 : une décennie au devant des catastrophes, Mille et une...
L’école pour piéger les sans-papiers
Mercredi 2 février 2005, des gendarmes se sont rendus dans le collège Charles De Gaulle de Fameck (Moselle) pour interpeller deux élèves irakiens, des frères...
Les conditions de l’éducation
BLAIS Marie-Claude, GAUCHET Marcel, OTTAVI Dominique, Conditions de l’éducation, Stock, 2008, 265 p.
Le pédagogisme triomphant ayant envahi l’École depuis quelques décades déjà, il...
Interdire les distributeurs de boissons sucrées dans les écoles
Le professeur Guy-Bernard Cadière (hôpital St Pierre, Bruxelles), spécialiste de la chirurgie de l’obésité, n’y va pas par quatre chemins : « Il est...
Etat sécuritaire, fantasmes technoscientifiques
Deux essais récemment parus font le point sur ces questions, mais en partant de points de vue opposés.
José Saramago
Le 18 juin dernier disparaissait l’écrivain portugais José Saramago. Il était un de ces « ambassadeurs de nos brûlures et de nos rêves » (1) que nous regretterons. C’est le prix Nobel de littérature qui avait concentré sur lui la lumière des projecteurs. En 1998, c’est-à-dire sur le tard, pour un homme né en 1922 dans l’Alentejo. D’origine modeste, élevé par des grands-parents paysans analphabètes, toute sa vie aura été placée sous le signe de l’engagement. Communiste et athée, il ne s’est d’ailleurs pas fait que des amis dans son pays natal. Ces dernières années l’avaient encore vu s’engager ardemment dans le mouvement altermondialiste.










