Un autre regard sur Anvers: merci !

J’ai pu participer à deux des activités organisées, le mercredi 01 mars 2006, par l’Ecole Démocratique, dans le cadre de la journée "un autre...

27 mars : « Bon ou mauvais élève, qu’est-ce que ça veut dire aujourd’hui...

CGé organise à Liège une après-midi d’étude sur le thème « Bon ou mauvais élève, qu’est-ce que ça veut dire aujourd’hui ? » ...

Le premier job de l’étudiant ? Etudier, pardi !

En Belgique, la ministre fédérale de l’Emploi et du travail a décidé – à la demande du secteur Horeca - de favoriser les jobs...

Première « journée des membres »: une rencontre fructueuse entre les régionales de l’Aped

L’Aped soufflera bientôt ses 20 bougies mais le mouvement n’en est pas moins actif pour autant. Le dernier rassemblement en date nous le rappelle. Ce samedi 15 novembre, une cinquantaine de membres se sont réunis à Forest pour discuter des stratégies d’action à adopter pour rendre le travail de l’Aped encore plus accessible, plus visible et plus efficace. Un nouveau type de rencontre, chaînon jusqu’ici manquant entre les réunions restreintes du bureau, du conseil général et des régionales… et les grands rendez-vous comme nos traditionnelles « 6 heures pour l’école démocratique ».

S’attaquer au marché scolaire ou accepter les inégalités : il faut choisir !

Le décret inscriptions ne réduit pas la ségrégation scolaire. C’est ce qui ressort du dernier rapport de la Commission de pilotage qui a analysé...

Crise de l’égalité dans une société multiculturelle

Dans le cadre des conférences de la Maison de la Laïcité d’Ottignies, Jean-Philippe Schreiber, professeur à l’Université Libre de Bruxelles (ULB) et chercheur au Centre interdisciplinaire d’étude des religions et de la laïcité, m’a semblé avoir une position nuancée et claire sur ce qui devrait être une réponse à la fois pragmatique et démocratique de l’Etat belge aux demandes particularistes qui lui sont adressées de la part des différentes communautés culturelles et religieuses.

Lisez et signez la pétition

Au moyen de cette pétition lancée le 3 mars 2020, l'Aped veut propager, auprès des décideurs politiques, des acteurs de l'éducation et de tous les...

Plate-forme de lutte contre l’échec scolaire

Il y a un peu plus d'un an, sept organisations - dont l'Aped - et quelques académiques associés dans une « plate-forme de lutte contre l'échec scolaire » adoptaient un Mémorandum. Ce texte part de la catastrophe que représente l'échec scolaire en Communauté Française et reprend les revendications communes afin de s'attaquer de front à ce fléau. L'objectif de la plate-forme est de lancer un vaste débat de fond sur le rôle de l'Ecole et sur la manière de lui permettre de le remplir. A cette fin, les organisations concernées ambitionnent évidemment d'élargir au maximum la plate-forme afin d'être plus nombreux et donc plus forts pour porter le combat. C'est donc avec grand plaisir que nous avons constaté que différentes organisations nous rejoignaient à la fin de l'année scolaire. Il s'agit de l'association « Lire et Ecrire » ainsi que des principaux syndicats d'enseignants : la CSC enseignement, la CGSP enseignement et le SEL. Le 8 juin dernier, lors d'une conférence de presse, les nouveaux venus ont expliqué les raisons de leur présence dans la plate-forme. Pour Michel Vrancken (CGSP enseignement), il est temps que les syndicats s'occupent d'autre chose que des salaires des enseignants et de leurs conditions de travail au sens strict. C'est bien sûr un de leurs rôles fondamentaux, mais il est important que les enseignants s'expriment aussi sur l'Ecole qu'ils veulent, sur ce que doit être l'Ecole dans notre société. Prosper Boulangé (CSC enseignement) rajoute que, la situation étant ce qu'elle est, un vaste travail de fond est nécessaire en Communauté Française pour se rapprocher d'un enseignement plus démocratique. Une véritable politique de gauche s'impose précise-t-il. Catherine Sterck (Lire et Ecrire) rappelle que son association s'adresse aux adultes qui désirent combler les lacunes de leur scolarité par un travail d'alphabétisation. Leur seul nombre suffit à démontrer les failles du système scolaire et justifie ainsi la présence de cette organisation dans la plate-forme. Enfin, Vincent Carette (ULB) estime que nous vivons dans une culture de l'échec. « Même dans le Contrat pour l'Ecole, on trouve normal qu'un certain nombre d'enfants soient exclus. En tant que citoyen, j'estime cela inacceptable et en tant que chercheur, je sais qu'il est possible de pratiquer autrement » précise-t-il. L'année prochaine, la plate-forme se donne pour ambition, sinon d'encore s'élargir, en tout cas d'élargir le débat. Afin de préparer les conditions d'un large mouvement social nécessaire à toute avancée vers un enseignement plus juste. Elle se donne pour objectif de créer à cet égard les outils adéquats.

Un appel contre «Bridge International Academies»

Le 1er août 2017, 174 organisations de la société civile du monde entier, dont l'Aped, ont publié une déclaration appelant les investisseurs de Bridge...

« Rencontres pour faire apprendre » 2017-2018

Le Service des Sciences de l’Éducation de l'ULB nous communique le programme des « Rencontres pour faire apprendre » pour l’année académique 2017-2018. Ces rencontres, organisées...

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