Mémorandum

A l'initiative de la Ligue des Droits de l'Enfant, 7 associations et deux personnalités académiques ont décidé de créer une plateforme de lutte contre l'échec scolaire. En travaillant sur base du consensus, la plateforme est arrivée à un Mémorandum reprenant les revendications communes en matière d'enseignement. Ce mémorandum a été présenté à la presse ce mercredi 5 mai 2004. Les membres de la plateforme considèrent ce mémorandum comme une étape et comptent bien collaborer dans la suite, éventuellement avec d'autres associations, afin de forcer les changements nécessaires pour lutter contre le fléau de l'échec scolaire Les autres associations signataires sont: la Fédération Francophone des Ecoles de Devoirs la Code (Coordination des ONG pour les Droits de l'Enfant) la CGé (Changements pour l'égalité) La Ligue des Familles ATD-Quart Monde et bien sûr la Ligue des Droits de l'Enfant

Journée de réflexion de l’Aped, 26 juin

Le 26 nous poursuivrons nos discussions sur le texte Programme pour l'enseignement obligatoire. Vous êtes cordialement invité à y participer de 10 h à...

Selectie aan poort universiteit

De Nederlandse Tweede Kamer maakt de weg vrij voor meer selectie van studenten aan de poort van het hoger onderwijs. Ook mogen universiteiten en...

Laaggeletterdheid in Vlaanderen en Nederland

Een op de zeven volwassenen in Vlaanderen kan niet voldoende lezen en schrijven om het te redden in een kennismaatschappij. Vlaanderen telt naar schatting...

Geweld op Nederlandse scholen

De afgelopen periode is de veiligheid van scholen in Nederland meermalen op indringende wijze in de publiciteit gekomen. Uit de gegevens van de inspectie...

Lerarentekort vooral in “moeilijke” scholen

Ondanks gunstige tussenberichten is het lerarentekort, zeker gezien de vergrijzing onder het personeel, nog allerminst opgelost in Nederland. Wel begint de omvang van het...

“Slechte scholen worden gesloten”

De Nederlandse minister Van der Hoeven van Onderwijs (CDA) wil scholen die langdurig slecht presteren geen overheidsgeld meer geven, wat in de praktijk betekent...

Bijna 400.000 Italiaanse kinderen onder de 14 jaar werken

Italië telt tussen de 360.000 en 400.000 kinderen van 7 tot 14 jaar die verplicht worden te werken. Dat blijkt uit een alarmerend rapport...

Programme pour l’enseignement obligatoire en Belgique

Le 8 novembre dernier une vingtaine de membres et amis de l'Aped se réunissaient pour discuter de notre projet d'école sur base d'un texte intitulé Changer l'école pour changer le monde. Ce texte avait pour vocation de répondre à une objection formulée de temps à autre : « Vous dénoncez les dérives du système éducatif, ses aspects non démocratiques, mais vos alternatives se limitent à des grands principes. Que voulez-vous concrètement ? » Les échanges furent très riches. Néanmoins, nous avons enregistré ce jour-là et dans les jours qui ont suivi quelques remarques que l'on pourrait résumer comme suit : « Votre vision de l'école telle qu'elle devrait être est excellente, mais il y a un tel fossé entre cette école-là et l'école que nous connaissons qu'on ne voit vraiment pas par quel chemin on pourrait y arriver ! » C'est pourquoi nous avons voulu proposer un nouveau texte. Celui-ci ne remplace pas le précédent. Il le complète en proposant un programme pour lequel nous estimons qu'il est possible de lutter dès maintenant. Cela ne signifie pas qu'il pourrait être d'application à la prochaine rentrée. Mais bien que l'heure est venue de débattre, de chercher des alliés, bref de mener une lutte politique pour obtenir des avancées concrètes. Un premier échange a eu lieu le 24 avril. Une nouvelle réunion est prévue pour le samedi 26 juin

Nous vivons en démocratie », ils disaient …

« Droit de vote, suffrage universel, régime parlementaire, constitution, partis démocratiques, séparation des pouvoirs, liberté d'expression, droits et devoirs du citoyen », « une presse garante de la démocratie », « les Etats-Unis, la plus grande démocratie au monde », « liberté, égalité, fraternité » … A en croire le discours des politiciens, des intellectuels et des journalistes « de révérence » … et des hommes d'affaires, nous sommes les heureux citoyens du meilleur des mondes possible. Certes, reconnaissent-ils volontiers, ce monde n'est pas parfait, il lui arrive de « dysfonctionner », mais quand même, c'est ce qu'on a fait de mieux comme système. Qu'ils disent.
Et pourtant ….

Que peut-on faire au-delà des discours ?

Le cinquantième anniversaire de la Déclaration universelle des droits de l'homme a été l'occasion de nombreuses initiatives pédagogiques aussi variées que méritoires : publications, leçons de morale, d'histoire, mobilisation parfois coordonnée de toute une école. Je pense à une exemplaire journée des " Sans " (sans papiers, sans travail, sans avenir…) organisée à l'Institut technique et professionnel d'Herbuchène à laquelle j'ai eu le plaisir, avec bien d'autres, de participer. Journée modèle par l'implication des enseignants et des élèves, sensibilisés par diverses activités (création d'une pièce, café-citoyen…) aux injustices de notre société.

Pourquoi les pouvoirs établis veulent-ils développer la citoyenneté ?

Avez-vous remarqué que ce sont les principaux pouvoirs en place - politique et économique en tête -, qui nous appellent à exercer notre citoyenneté. Curieux, non ? Pourquoi cet engouement ? Qu'attendent-ils de nous, au juste ? Poser ces questions, c'est déjà un peu y répondre.

Existe-t-il une recette de la citoyenneté ?

De quoi est faite la citoyenneté dont nous nous revendiquons, nous, enseignants et militants progressistes, et que nous souhaitons éveiller chez les jeunes ? Nous en dégageons ici les grandes lignes, pour ensuite, dans d'autres articles de ce dossier, tenter de les détailler.

Exercer l’esprit critique

« L'art de poser de (bonnes) questions, et d'y répondre, est donc une compétence indispensable à la pratique démocratique. Ainsi, l'école, lieu où l'on apprend à interroger le réel avec le maximum de rigueur que peut apporter la fréquentation des différentes sciences, est un lieu privilégié d'apprentissage démocratique. » Luis Miguel Lloreda (1)