Résolution européenne sur les dangers du créationnisme dans l’éducation

Une résolution votée par l’Assemblée parlementaire du Conseil de l’Europe (n° 1580/2007) « s’oppose fermement à l’enseignement du créationnisme en tant que discipline scientifique,...

Oui à la liberté de pensée, de conviction et de religion,...

Depuis quelque temps, suivant l'exemple français, le débat sur l'opportunité ou non d'une loi interdisant le port du foulard à l'école fait rage, charriant son lot d'idées réductrices et d'amalgames. Ce débat n'est cependant pas nouveau en Belgique où, depuis des années, de plus en plus d'écoles ont progressivement interdit le port du foulard.

La place des convictions philosophiques à l’école

Parce qu'une question comme celle du port de signes religieux à l'école, qui concerne la manière dont se conçoit l'enseignement bénéficiant de subsides publics,...

Et si le foulard pouvait libérer ?

Je ne signe pas la pétition intitulée « La place des convictions philosophiques à l'école » . Malgré toutes ses précautions oratoires, elle vise uniquement le port...

Allocations d’études, un dossier

Le Collectif Solidarité Contre l'Exclusion publie un dossier sur les allocations d'études. Au sommaire : des informations factuelles, des articles d'analyse critique, des témoignages (téléchargeable...

Pétition contre la démolition d’une école palestinienne

Le droit à l’éducation tel qu’énoncé dans la Déclaration Universelle des Droits Humains en 1948, est repris en droit international ainsi que dans la...

Des enseignants japonais refusent de se soumettre à l’hymne et au...

Chaque année, à Tokyo, sont sanctionnés les enseignants qui n'obéissent pas à une notification du Comité de l'instruction publique. Cette notification du 23/10/2003 impose aux enseignants de se lever pour chanter l'hymne nationale lors de la cérémonie scolaire. Mais elle est contestable pour certains, car ce chant peut évoquer l'histoire sombre du Japon ; il a accompagné l'armée japonaise tout au long de sa guerre au début du siècle précédent. Les enseignants ayant ces convictions professionnelles invitent leurs élèves à réfléchir sur la signification de l'hymne et choisissent eux-mêmes de ne pas se soumettre à la notification. Aux yeux de leur hiérarchie, ces comportements sont inacceptables. Leurs résistances sont considérées comme infractions à la discipline. D'où la situation de plus en plus inquiétante de ces enseignants.

Quelle violence ? Pourquoi ? Et pourquoi l’école y fait-elle difficilement...

Le nombre d'actes de violence commis par les jeunes est-il vraiment en train d'exploser ? Ou est-ce la gravité de ceux-ci qui est de plus en plus préoccupante ? Des faits auparavant ignorés du grand public - parce qu'ils nuiraient à l'image de marque de l'école dans un contexte de quasi-marché scolaire - ne seraient-ils pas désormais (sur)médiatisés ? N'est-ce pas plutôt les bavardages continuels, le manque d'intérêt porté à l'école et les « incivilités » quotidiennes qui plombent l'ambiance de nos établissements, bien plus que des accès de fièvre certes aigus mais assez rares ? En l'absence d'études quantitatives et qualitatives vraiment fiables en la matière, du moins en Belgique, il est parfois délicat de faire la part des choses. Nous voudrions néanmoins rappeler quelques vérités, essentielles à une époque où d'aucuns voudraient exploiter le filon de la violence pour justifier des politiques de droite extrême ... et où d'autres prétendraient tout régler par un traitement strictement psychologisant.

Le programme de l’APED et la violence

En 2006, l'APED a publié un programme en 10 points, « Vers l'école commune ». Ce projet contient des réformes de nature à réduire spectaculairement la violence scolaire. Petit aperçu.

Violence au cours : que faire ?

S'il est évident que l'essentiel des causes des violences des jeunes est à chercher dans le contexte où ils vivent (situation socio-économique, ségrégation, injustices, mauvais rapport à l'école, écoles et classes ghettos, société de l'individualisme et de la lutte concurrentielle, etc.), et qu'il ne faudra dès lors attendre aucune amélioration notable tant que de vigoureuses réformes progressistes n'auront pas été entreprises, il n'en reste pas moins vrai qu'il nous faut exercer notre métier d'enseignants et d'éducateurs, au quotidien, dans les meilleures conditions possible. Nous pensons que quelques modes de fonctionnement, quelques attitudes, en classe comme dans l'école, peuvent réduire sensiblement la tension et la violence (même si, nous le répétons, dans des contextes extrêmes, ils ne suffiront pas).

« Etudie, car il faut changer le monde ! »

Ce samedi 20 octobre, plus de 200 enseignants, étudiants et autres acteurs de l'enseignement se sont réunis à Bruxelles lors des « six heures pour l'école démocratique » organisées par l'Aped. Ils y ont participé à une offre variée de promenades et d'ateliers qui, de l'avis général, ont été hautement appréciés pour leur qualité. Lors de la séance plénière de 14h, Nico Hirtt, membre fondateur de l'Aped, a prononcé le discours suivant.

Concours : mettez votre école au service du profit

Le gouvernement de Marie Arena vient de lancer, en partenariat avec l'Union Wallonne des Entreprises, un concours invitant les classes del'enseignement secondaire "à prendre...

Les chiffres qui condamnent la politique éducative sarkozyste

Une étude comparative sur les systèmes éducatifs européens apporte désormais la preuve irréfutable que les réformes annoncées par le gouvernement de Nicolas Sarkozy - assouplissement de la carte scolaire et suppression du collège unique - conduiront à une augmentation catastrophique de la fracture sociale dans l'enseignement français.

Classer les universités : une aberration

Classer les universités – ou les écoles de quelque niveau qu’elles soient – nous a toujours semblé une aberration. Parce que cela relève d’une...