De la garantie des meilleurs prix à la garantie de « meilleurs » programmes

Un grand groupe de distribution belge vient de glisser dans nos boites aux lettres son dépliant bihebdomadaire. A chaque numéro, le groupe met en...

Jean-Claude Marcourt vers le préciTICE

On le savait, on le craignait : emporté par sa déraison néolibérale, managériale, technolâtre et soi-disant « progressiste », le gouvernement wallon s’apprête à...

Pacte : revaloriser le qualifiant exigera davantage de cohérence

La création d’un tronc commun d’enseignement jusqu’en 3e secondaire constitue l’une des propositions principales issues du Pacte d’Excellence et retenues par le Groupe Central...

Task Force Emploi Formation Enseignement…: toujours le même mensonge !

La Région bruxelloise dispose désormais de l’instrument dont le gouvernement bruxellois souhaitait la doter pour relever le défi de l’emploi en particulier chez les...

Demain, tous intellectuels ?

Dans les débats sur l’adéquation entre éducation et économie, un paramètre essentiel est l’anticipation de l’évolution des besoins en qualifications. Si l’on suppose que...

Une épreuve de qualification

Il m’a été donné de participer au jury de qualification de trois élèves de 6e professionnelle électricité. Professeur de français, béotien en électricité, j’en ai pourtant assez vu pour être conforté dans quelques-unes de mes convictions.

Avons-nous besoin de travailleurs compétents ou de citoyens critiques?

À l'instar de nombreux pays européens, la Communauté française de Belgique s'est engagée dans une profonde révision des programmes à tous les niveaux de l'enseignement obligatoire. L'objectif affiché est de mettre ceux-ci en conformité avec la doctrine dite de «l'approche par les compétences». La thèse soutenue ici est double. D'une part, cette approche sera incapable de réaliser les promesses émancipatrices dont elle se veut porteuse. D'autre part et surtout, elle participe - sans doute involontairement dans le chef de ses théoriciens- d'un vaste processus d'instrumentalisation de l'École au service d'une économie en quête de dérégulation et de dualisation sociale.

Les « compétences du XXIe siècle » à l’épreuve de la psychologie cognitive…

Résoudre des problèmes, faire preuve de pensée critique, créative ou encore innovante, collaborer, communiquer… voilà donc des compétences dont nul n’aimerait être privé. Ça...

Éduquer et former, sous la dictature du marché du travail

Le discours dominant sur l’éducation considère celle-ci comme un « capital humain », dont le développement serait profitable à la fois aux individus (employabilité) et aux sociétés (croissance économique). Ce discours idéologique a pour fonction principale de justifier une adéquation fine de l’école aux évolutions du marché du travail. Or, l’étude des documents les plus récents de l’OCDE et de l’Union européenne révèle que cette évolution engendre, non pas un développement quantitatif ou qualitatif de l’enseignement, mais sa polarisation et son repli sur les « compétences » de base.

Ondernemingsgeest, ben je daar?

Wij, leerkrachten, worden met een nieuwe opdracht belast: de ondernemingsgeest van onze leerlingen aanwakkeren. Ze warm maken voor het ondernemerschap. Dit is een van de voornaamste accenten van de recente Verklaringen van onze Gewest- en Gemeenschapsregeringen. Onze bewindlui hoeven echter niet op de progressieve leerkrachten te rekenen om met die stroming mee te gaan!

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