Grèce : les étudiants en lutte contre l’ouverture d’universités privées
Importante mobilisation en Grèce. De nombreuses facultés à travers le pays ont été occupées et, tous les jeudis depuis début janvier, des arrêts de...
Les vautours du coronavirus 5, Jean-Michel Blanquer
C’est Christophe Cailleaux qui nous le rappelle (1) : le ministre Jean-Michel Blanquer soutient très activement les acteurs privés du marché éducatif. Son truc,...
Un effondrement piloté rationnellement
On le sait, depuis quatre ans, le système scolaire de la Belgique francophone, sous l’égide du « Pacte pour un enseignement d’Excellence », est en pleine...
Meirieu : « Arrêtons de totémiser le numérique ! »
"L’école que j’appelle de mes vœux est une école de la solidarité. La concurrence sera supplantée par une solidarité plus grande, où les élèves...
Vol de vautours sur l’école des pauvres
Au nom d'une réorientation des dépenses publiques d'éducation vers l'enseignement de base, la Banque mondiale recommande aux pays du Tiers-Monde de laisser les forces du marché jouer un rôle dominant dans les enseignements secondaire et supérieur. Au-delà des risques manifestes d'augmenter l'inégalité sociale face à l'instruction, l'uniformisation marchande des savoirs et des cultures pourrait bien déboucher sur une véritable catastrophe intellectuelle.
Un appel contre «Bridge International Academies»
Le 1er août 2017, 174 organisations de la société civile du monde entier, dont l'Aped, ont publié une déclaration appelant les investisseurs de Bridge...
Un ordinateur pour chaque élève : une opportunité pédagogique ?
Le 16 novembre dernier, dans un communiqué de presse, la Ligue des familles et le Réseau Wallon de lutte contre la pauvreté dénonçaient l’adoption...
AGCS: nos ministres sont contre, mais pour…
L'Accord Général sur le Commerce des Services (AGCS) qui se prépare au sein de l'Organisation Mondiale du Commerce (OMC) inquiète, parait-il, nos politiques. Ils craignent " une privatisation croissante de l'offre d'enseignement dans notre pays ". (1) L'AGCS concerne le volet " services " de la libéralisation du commerce. Tous les secteurs où l'Etat ne détient pas le monopole sont visés. C'est donc aussi le cas de l'enseignement dans les nombreux pays comme le nôtre où plusieurs réseaux coexistent. Pour le 30 juin 2002, chaque Etat devait spécifier aux Etats concernés les services qu'il souhaitait voir libéraliser chez eux. Pour fin mars 2003, chacun doit répondre aux requêtes qui lui ont été adressées en précisant ce qu'il accepte de libéraliser chez lui. L'Union Européenne s'est mise d'accord sur le principe d'une réponse commune, mais celle-ci était toujours en préparation au moment où nous écrivions ces lignes. Suite à une interpellation parlementaire, le Ministre Président de la Communauté Française Hervé Hasquin (MR) a répondu que les requêtes de l'étranger étaient " particulièrement alarmistes " en matière d'éducation (surtout d'enseignement supérieur) et d'audiovisuel.
Quelle est la position de la Belgique ? Officiellement, avec sept autres pays dont la France et l'Italie, nos autorités ont marqué leur opposition à une libéralisation accrue de l'éducation. Très bien. Mais que dire alors de leur zèle à mettre en place le processus de Bologne ?
Vidéo: en France, McKinsey se prend les pieds dans le tapis…
Rémunéré à hauteur de 500.000 € pour« réfléchir à des thèmes de réflexion » (sic) sur l’ « évolution du marché… euh… du métier...
En finir avec les mystifications du marché scolaire
Ecoles contraintes de garnir leur vitrine d’offres « tape-à-l’œil » plutôt que de se centrer sur leur mission pédagogique, marketing éhonté entrainant une gabegie de moyens...