L’école nouvelle cible des gourous de la Silicon Valley

Cela fait longtemps que les gourous de la Silicon Valley ont annoncé la couleur : à l’instar de Trump – mais avec l’intelligence en plus...

Un appel contre «Bridge International Academies»

Le 1er août 2017, 174 organisations de la société civile du monde entier, dont l'Aped, ont publié une déclaration appelant les investisseurs de Bridge...

Les vautours du coronavirus 4, édition spéciale « bac à sable »

La « continuité pédagogique » à distance constituerait « un bac à sable grandeur nature ». Nous vivrions « un moment de bascule fabuleux ». L’obscénité de ces propos, dans un...

En finir avec les mystifications du marché scolaire

Ecoles contraintes de garnir leur vitrine d’offres « tape-à-l’œil » plutôt que de se centrer sur leur mission pédagogique, marketing éhonté entrainant une gabegie de moyens...

Vol de vautours sur l’école des pauvres

Au nom d'une réorientation des dépenses publiques d'éducation vers l'enseignement de base, la Banque mondiale recommande aux pays du Tiers-Monde de laisser les forces du marché jouer un rôle dominant dans les enseignements secondaire et supérieur. Au-delà des risques manifestes d'augmenter l'inégalité sociale face à l'instruction, l'uniformisation marchande des savoirs et des cultures pourrait bien déboucher sur une véritable catastrophe intellectuelle.

Les vautours du coronavirus 2

Un vent favorable nous a rapporté la promo suivante : « Chers élèves, afin de faciliter vos recherches d’enseignants pendant cette période de cours par...

AGCS: nos ministres sont contre, mais pour…

L'Accord Général sur le Commerce des Services (AGCS) qui se prépare au sein de l'Organisation Mondiale du Commerce (OMC) inquiète, parait-il, nos politiques. Ils craignent " une privatisation croissante de l'offre d'enseignement dans notre pays ". (1) L'AGCS concerne le volet " services " de la libéralisation du commerce. Tous les secteurs où l'Etat ne détient pas le monopole sont visés. C'est donc aussi le cas de l'enseignement dans les nombreux pays comme le nôtre où plusieurs réseaux coexistent. Pour le 30 juin 2002, chaque Etat devait spécifier aux Etats concernés les services qu'il souhaitait voir libéraliser chez eux. Pour fin mars 2003, chacun doit répondre aux requêtes qui lui ont été adressées en précisant ce qu'il accepte de libéraliser chez lui. L'Union Européenne s'est mise d'accord sur le principe d'une réponse commune, mais celle-ci était toujours en préparation au moment où nous écrivions ces lignes. Suite à une interpellation parlementaire, le Ministre Président de la Communauté Française Hervé Hasquin (MR) a répondu que les requêtes de l'étranger étaient " particulièrement alarmistes " en matière d'éducation (surtout d'enseignement supérieur) et d'audiovisuel. Quelle est la position de la Belgique ? Officiellement, avec sept autres pays dont la France et l'Italie, nos autorités ont marqué leur opposition à une libéralisation accrue de l'éducation. Très bien. Mais que dire alors de leur zèle à mettre en place le processus de Bologne ?

Écoles et coronavirus : le numérique en embuscade

Les périodes de grandes difficultés comme celle que nous vivons sont l’occasion pour des acteurs majeurs du marché de mettre en avant leurs produits...

Sans complexe !

Faut oser ! Et ils osent tout, les champions de la droite décomplexée. Petit échantillon… On le sait, les difficultés que connaît l’enseignement public conduisent...

Meirieu : « Arrêtons de totémiser le numérique ! »

"L’école que j’appelle de mes vœux est une école de la solidarité. La concurrence sera supplantée par une solidarité plus grande, où les élèves...

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