Roberto Saviano et Fabrizio Gatti : Infiltrés
Outre leur nationalité, ces deux jeunes journalistes italiens présentent bien des points communs. Et cela nous donne deux ouvrages passionnants de bout en bout. Dont des extraits pourront être lus en classe.
Propagande de guerre
Anne Morelli, Principes élémentaires de propagande de guerre utilisables en cas de guerre froide, chaude ou tiède, Aden, 2010, 191 p.
La deuxième réédition...
Meirieu : « Arrêtons de totémiser le numérique ! »
"L’école que j’appelle de mes vœux est une école de la solidarité. La concurrence sera supplantée par une solidarité plus grande, où les élèves...
L’ « école du dehors », entre intentions louables et écueils petits-bourgeois
Se proposant de « reconnecter les élèves avec la nature », l’ "école du dehors" entend tout à la fois contribuer au développement holistique...
Palestine/Israël dans les classes: de l’émotionnel vers les apprentissages
Michel Staszewski et nos amis de CGé et du magazine TRACeS de ChanGements nous ont aimablement autorisés à reproduire dans nos colonnes l’entretien qu’ils...
Les aider à tenir bon !
Les médias ne parlent plus que de cela : les jeunes en ont « ras le bol » du confinement.
On comprend assurément la souffrance de devoir,...
La culture générale pour tous, une ambition scolaire dépassée ?
Pour l’Aped, l’acquisition par tous les jeunes d’une « culture classique » constitue l’un des éléments constitutifs d’une Ecole véritablement démocratique. Pourtant bon nombre...
Crise de l’égalité dans une société multiculturelle
Dans le cadre des conférences de la Maison de la Laïcité d’Ottignies, Jean-Philippe Schreiber, professeur à l’Université Libre de Bruxelles (ULB) et chercheur au Centre interdisciplinaire d’étude des religions et de la laïcité, m’a semblé avoir une position nuancée et claire sur ce qui devrait être une réponse à la fois pragmatique et démocratique de l’Etat belge aux demandes particularistes qui lui sont adressées de la part des différentes communautés culturelles et religieuses.
L’Ecole face aux défis environnementaux
« Il s'agit de faire comme si on avait affaire à une fatalité, afin de mieux en détourner le cours. Le malheur est notre destin, mais un destin qui n'est tel que parce que les hommes n'y reconnaissent pas les conséquences de leurs actes. C'est surtout un destin que nous pouvons choisir d'éloigner de nous. »
Jean-Pierre Dupuy, "Pour un catastrophisme éclairé. Quand l’impossible est certain", Seuil, Paris, 2002.
L’école contre l’individualisme
Pourquoi va-t-on à l'école ? Si on demande à un adulte bien élevé, il nous répondra : « c'est pour développer l'esprit des enfants,...