Mémorandum

A l'initiative de la Ligue des Droits de l'Enfant, 7 associations et deux personnalités académiques ont décidé de créer une plateforme de lutte contre l'échec scolaire. En travaillant sur base du consensus, la plateforme est arrivée à un Mémorandum reprenant les revendications communes en matière d'enseignement. Ce mémorandum a été présenté à la presse ce mercredi 5 mai 2004. Les membres de la plateforme considèrent ce mémorandum comme une étape et comptent bien collaborer dans la suite, éventuellement avec d'autres associations, afin de forcer les changements nécessaires pour lutter contre le fléau de l'échec scolaire Les autres associations signataires sont: la Fédération Francophone des Ecoles de Devoirs la Code (Coordination des ONG pour les Droits de l'Enfant) la CGé (Changements pour l'égalité) La Ligue des Familles ATD-Quart Monde et bien sûr la Ligue des Droits de l'Enfant

Pour un nouveau décret Inscription !

Faut-il enterrer le décret Inscription ? Si c’est pour en revenir à plus de « libre marché » scolaire, comme semblent le proposer Olivier Maingain et...

Quel refinancement ?

Devant l'euphorie déclenchée par la perspective de refinancement des Communautés qui découlerait de la Déclaration de politique fédérale du Premier Ministre, l'Appel Pour une...

Ceci n’est pas une crise, c’est une escroquerie !

  L'Aped est évidemment signataire de l'appel qui suit. Ceci n’est pas une crise, c’est une escroquerie ! Passer de l’indignation à la mobilisation, c’est pour...

Et maintenant un vrai décret mixité !

L’Aped (Appel Pour une Ecole Démocratique) prend acte des déclarations du Ministre Dupont à propos de son propre Décret, particulièrement en ce qui concerne le tirage au sort...

Face au gouvernement des ultra-riches, ensemble pour résister

  Déclaration 1er septembre 2015 Dans tous les domaines, le Gouvernement Michel - De Wever fait des choix profondément injustes, alors que des alternatives existent, plus justes...

Les enseignants de l’Aped solidaires des travailleurs d’Arcelor Mittal

Nous étions quelques militants de l’équipe liégeoise de l’Aped à manifester ce mercredi 26 octobre sur la place de Seraing. A manifester notre solidarité envers les sidérurgistes du groupe Arcelor Mittal. Au-delà du plaisir de retrouver quelques anciens élèves devenus ouvriers et d’entretenir les liens de camaraderie qui nous unissent à d’autres mouvements de la gauche de gauche, qu’est-ce qui pouvait bien motiver la présence d’enseignants dans ce rassemblement ?

Le Pacte d’excellence et ses contradictions

Madame Milquet vient de déterminer les axes prioritaires du Pacte d’excellence. Douze groupes de travail plancheront sur les douze priorités fixées par la ministre. En principe, ces commissions devraient oeuvrer dans la continuité des travaux de la Phase I du pacte, qui s’est achevée le 1er juillet avec la publication d’un rapport de synthèse sur les travaux des groupes de travail GT1 (« état des lieux/diagnostic ») et GT2 (« sens, valeurs, objectifs et mission de l’école du 21e siècle »). Au cours de la Phase II, plus discrète, le Comité d’accompagnement du Pacte a sélectionné douze chantiers prioritaires. qui devront « baliser le travail des Groupes de travail de la phase III ».

Le Segec refuse toute démocratisation de l’enseignement

En réagissant violemment contre les modestes projets ministériels de régulation des inscriptions d'élèves et contre la timide ébauche de "tronc commun" au premier degré secondaire, le Secrétariat Général de l'Enseignement Catholique (Segec) montre qu'il ne cherche nullement à résoudre le problème criant du déficit d'équité de notre système éducatif, mais uniquement à se vendre au mieux sur le marché de l'enseignement.

Espagne : « Qualité », « équité », « responsabilité »…

Les données nullement encourageantes sur la qualité et les résultats du système éducatif espagnol, fournies par les récents rapports comme ceux de "Pisa 2003" et "l'Espagne dans l'Europe des 25" vont obligatoirement avoir une incidence sur le débat autour des nouvelles propositions du Ministère de l'Education. D'une part, elles contredisent le discours optimiste qui apparaît dès l'introduction du document ministériel, lorsqu'il prétend se situer dans la continuité des supposés succès des précédentes réformes, et limite sa propre portée, à des retouches mineures de la "populaire" LOCE, à la récupération de quelques références idéologiques de l'ancienne LOGSE et à l'inévitable adaptation que, soi disant, exigent les permanents changements économiques et sociaux. D'autre part, l'évocation des objectifs fixés par l' Union Européenne pour 2010 qui, était en principe, une simple justification à la nouvelle initiative de réforme, peut alors jouer un rôle plus déterminant dans la dernière articulation des propositions. Si l'on doit reconnaître que les résultats n'étaient pas aussi bons qu'on le prétendait, s'il en résulte que les écarts avec les pays leader au lieu de se réduire augmentaient, il paraît évident, qu'au delà du "libre" débat national, les mesures finalement adoptées prennent plus en compte les conseils des institutions internationales qui, en définitive, fixent les véritables orientations. On ne doit cependant pas se faire trop d'illusions, ni sur le caractère de cette intervention et ce contrôle externe, ni sur le sens que peuvent prendre les pressions afin d'obtenir un certain consensus entre gouvernement et opposition quant aux lignes fondamentales de l'action à mener.

Les plus lus...

Articles récents