Home Fonctions de l'enseignement Marché de l'enseignement

Marché de l'enseignement

Une princesse contrainte au « second choix »

A quelques jours de la rentrée scolaire, la presse du Royaume se fait l’écho d’une nouvelle de la plus haute utilité publique : la...

Réponse aux rédacteurs de la «Lettre ouverte aux détracteurs du Pacte d’excellence»

Suite à la parution de la « lettre ouverte aux détracteurs du Pacte d’excellence » rédigée par CGé, la Ligue des Familles et le délégué...

Les vautours du coronavirus 7, centres commerciaux… et scolaires !

Les supermarchés français deviendront-ils des centres scolaires ? Le groupe immobilier Ceetrus, filiale d’Auchan, organisait en tout cas cet été des ateliers pédagogiques dans ses...

Sans complexe !

Faut oser ! Et ils osent tout, les champions de la droite décomplexée. Petit échantillon… On le sait, les difficultés que connaît l’enseignement public conduisent...

Un effondrement piloté rationnellement

On le sait, depuis quatre ans, le système scolaire de la Belgique francophone, sous l’égide du « Pacte pour un enseignement d’Excellence », est en pleine...

AGCS: nos ministres sont contre, mais pour…

L'Accord Général sur le Commerce des Services (AGCS) qui se prépare au sein de l'Organisation Mondiale du Commerce (OMC) inquiète, parait-il, nos politiques. Ils craignent " une privatisation croissante de l'offre d'enseignement dans notre pays ". (1) L'AGCS concerne le volet " services " de la libéralisation du commerce. Tous les secteurs où l'Etat ne détient pas le monopole sont visés. C'est donc aussi le cas de l'enseignement dans les nombreux pays comme le nôtre où plusieurs réseaux coexistent. Pour le 30 juin 2002, chaque Etat devait spécifier aux Etats concernés les services qu'il souhaitait voir libéraliser chez eux. Pour fin mars 2003, chacun doit répondre aux requêtes qui lui ont été adressées en précisant ce qu'il accepte de libéraliser chez lui. L'Union Européenne s'est mise d'accord sur le principe d'une réponse commune, mais celle-ci était toujours en préparation au moment où nous écrivions ces lignes. Suite à une interpellation parlementaire, le Ministre Président de la Communauté Française Hervé Hasquin (MR) a répondu que les requêtes de l'étranger étaient " particulièrement alarmistes " en matière d'éducation (surtout d'enseignement supérieur) et d'audiovisuel. Quelle est la position de la Belgique ? Officiellement, avec sept autres pays dont la France et l'Italie, nos autorités ont marqué leur opposition à une libéralisation accrue de l'éducation. Très bien. Mais que dire alors de leur zèle à mettre en place le processus de Bologne ?

Les vautours du coronavirus 1

Dans mon quartier-village du centre-ville de Liège, les habitants ont constitué depuis des années une mailing-liste pour toutes les communications utiles. En ces temps...

Un ordinateur pour chaque élève : une opportunité pédagogique ?

Le 16 novembre dernier, dans un communiqué de presse, la Ligue des familles et le Réseau Wallon de lutte contre la pauvreté dénonçaient l’adoption...

Vol de vautours sur l’école des pauvres

Au nom d'une réorientation des dépenses publiques d'éducation vers l'enseignement de base, la Banque mondiale recommande aux pays du Tiers-Monde de laisser les forces du marché jouer un rôle dominant dans les enseignements secondaire et supérieur. Au-delà des risques manifestes d'augmenter l'inégalité sociale face à l'instruction, l'uniformisation marchande des savoirs et des cultures pourrait bien déboucher sur une véritable catastrophe intellectuelle.

Critiques de l’école numérique

Ouvrage collectif coordonné par Cédric Biagini, Christophe Cailleaux et François Jarrige Le numérique s’implante de plus en plus profondément dans l’enseignement, de l’école à l’université,...

Les plus lus...

Articles récents