Evaluation (emprise de l’…)
Le «New Public Management» se révèle dans la finance, dans la santé, dans l'éducation, dans tous les domaines de l'administration publique.
Un des signes de...
Une critique de l’épreuve d’histoire au C.E.B.
J’ai regardé attentivement les questions reprises dans « Le Soir », qui fait un mix d’épreuves en histoire d’années différentes en sélectionnant certaines questions posées dans le cadre du CEB.
Le point sur les épreuves externes du CESS
Depuis quelques années, des épreuves externes centralisées sont organisées en 6e secondaire dans les écoles de la Fédération Wallonie-Bruxelles (FWB), sur deux matières du programme de cours (français et histoire). Elles sont obligatoires et certificatives depuis cette année et sont donc directement liées à l’octroi du certificat de fin d’études secondaires, le CESS. C’est pourquoi on parle aujourd’hui en général de CESS pour désigner les épreuves externes elles-mêmes (ce sera le cas dans les articles du présent dossier), même si le CESS est pour le moment essentiellement le produit de la réussite d’épreuves internes classiques.
La CPU, une catastrophe maintes fois annoncée.
Ce vendredi 11 septembre avaient lieu, dans mon école, les délibérations pour des élèves en 6ème technique option esthétique. Ces élèves ont en fait le « privilège » d’être les premières victimes d’un système défaillant : la certification par unités d’acquis d’apprentissage. [[La Certification Par Unités d’acquis d’apprentissage (CPU) a été introduite, dans le technique et le professionnel, de manière expérimentale et volontaire en septembre 2011 et a été rendue obligatoire (phase dite « organique ») en septembre 2013 dans 4 sections : esthéticien(ne), coiffeur(se), mécanicien(ne) d’entretien automobile et mécanicien(ne) polyvalent(e) automobile. Une 5ème section vient d’être ajoutée ce 1er septembre 2015 : couvreur-étancheur.]]Ce dispositif a pour objectif principal de valoriser les acquis des élèves tant dans la formation générale que dans la formation qualifiante. Mais il y loin de la coupe aux lèvres...
Nous avons testé pour vous l’épreuve externe du CESS en français…
Grande première en ce mois de juin 2015 : l’épreuve externe commune de français au terme de la dernière année de l’enseignement secondaire, pour l’obtention du fameux CESS, était obligatoire dans tous les établissements en Fédération Wallonie-Bruxelles. Professeur de français dans une 7ème professionnelle organisée en alternance (CEFA), l’épreuve m’inspire les quelques réflexions suivantes…
Méritocratie
La méritocratie semble bien être l'un des objectifs du nouveau contrat social.
Que ce soit à droite ou à gauche, l'idée du mérite, à partir...
CESS: Entretien avec Martine Herphelin, du Service général du Pilotage du système éducatif
Pour en savoir plus sur le CESS et adopter une perspective historique, nous avons interrogé Martine Herphelin, qui a dirigé le Service général du Pilotage du système éducatif en Communauté française de 1999 à 2014. C’est ce service qui gère la conception et l’organisation des épreuves externes en Fédération Wallonie-Bruxelles. Martine Herphelin a donc été une actrice et un témoin de premier plan du processus de mise en place des épreuves externes.
Epreuve externe certificative en français : citoyenneté critique, es-tu là ?
Choix de sujets discutables, textes orientés, références à un contexte culturel - français - que ne connaissent pas les élèves belges : l'épreuve de français de fin de secondaire qualifiant soulève bien des questions.
Généraliser les épreuves externes du CESS : une bonne ou une mauvaise idée ?
Instaurer à terme une série d’épreuves externes certificatives en 6e secondaire, comme le prévoit la DPC, est-ce une bonne idée dans le cadre du système belge ? De nombreuses questions se posent à ce propos, en raison du flou sur les motivations réelles à l’origine de l’instauration de tels examens, des modalités prévues actuellement, et, bien sûr, du contexte d’un système belge d’enseignement dont de multiples éléments d’organisation font déjà débat.
CEB et Histoire : la dérive des compétences
Les questions proposées aux élèves pour s'exercer en préparation du CEB, notamment en histoire, témoignent de l'indigence dramatique qui a résulté de l'approche par compétences. Elles illustrent combien cette approche est contraire à la pédagogie constructiviste dont elle se réclame pourtant.