Pour une réforme démocratique de l’école
En France, la démocratisation de l'enseignement est en panne. La carte scolaire, qui n'avait déjà pas été pensée comme outil de mixité sociale, est de plus en plus vidée de sa substance. La compétition entre écoles grandit, creusant le fossé de la ségrégation sociale. Cinquante chercheurs de renom lancent aujourd'hui un appel et un site internet. Leur programme: l'école commune...
Une enseignante fait part de son expérience en classe
Nathalie (prénom d’emprunt) est prof de français et de sciences humaines dans le secondaire technique et professionnel (2e, 4e et 5e), options industrielles. Mariée et mère de trois enfants, deux grandes filles et un jeune ado. Elle travaille dans la région liégeoise. Comment a-t-elle décidé d'aborder l'homosexualité et l'homophobie dans ses cours ?
« Wij leven toch in een democratie »…
"Algemeen stemrecht, parlementair regime, grondwet, democratische partijen, scheiding der machten, vrije meningsuiting, rechten en plichten van de burger", "de Verenigde Staten zijn de grootste democratie ter wereld", "vrijheid, gelijkheid, broederlijkheid", enz. Als we de discours van de politici, van eerbiedwaardige intellectuelen en journalisten mogen geloven, zijn we de gelukkige burgers van de beste wereld die maar mogelijk is. Natuurlijk is deze wereld niet perfect, erkennen ze grootmoedig. Het gebeurt wel eens dat ze "dysfunctioneert", maar zelfs dan is het het beste systeem dat er bestaat. Dit zeggen ze. Nochtans...
Votre mutuelle soutient-elle l’école privatisée ?
La mutualité Partenamut annonce qu'elle offre à ses « clients » une réduction de 10% sur certaines prestations de l'entreprise de soutien scolaire Cogito. Sur le...
Un niveau insatisfaisant… à cause de la taille des classes et des conditions de...
Près de 80% des enseignants considèrent qu’un nombre trop élevé d’enfants dans les classes est une cause régulière (« parfois » ou « souvent ») des difficultés scolaires....
1er Mai 2016: un muguet pour Augustin Spies, un autre pour Marie Blondeau
Dimanche prochain, nous fêterons le 1er mai, signe que nos vacances estivales s’annoncent à grandes foulées… la semaine de cinq jours et les congés...
Notre enseignement en mutation
Depuis quelques années, l'enseignement est en changement continu. Les législatures précédente et actuelle ont vu l'instauration des socles de compétence, les modifications des programmes et des horaires de plusieurs disciplines, la mise en adéquation (toujours en cours) des programmes de l'enseignement technique et professionnel avec les demandes des industriels, la modification de la formation initiale des enseignants. Tout cela part évidemment de « bons sentiments » : mettre l'enseignement en adéquation avec la société dans laquelle il est plongé. Ces nombreux changements, il va falloir les digérer, ce qui demande une stabilité de l'enseignement.
Mais cette stabilité est-elle concevable ? L'enseignement ne serait-il pas, de par sa fonction même, en déséquilibre permanent ? En effet, l'enseignement d'aujourd'hui n'a-t-il pas pour but de former les jeunes, de les rendre aptes à vivre dans la société future ? Laquelle sera nécessairement différente de la société actuelle.
Mais cette stabilité est-elle concevable ? L'enseignement ne serait-il pas, de par sa fonction même, en déséquilibre permanent ? En effet, l'enseignement d'aujourd'hui n'a-t-il pas pour but de former les jeunes, de les rendre aptes à vivre dans la société future ? Laquelle sera nécessairement différente de la société actuelle.
A la recherche d’une participation démocratique
Délégués de classe ou investis dans une action "citoyenne" au sein de leur école, les jeunes sont-ils bien en train de découvrir et de développer la démocratie ? Rien n'est moins sûr. Ce que chacun-e d'entre nous entend par "participation démocratique" recouvre des réalités fort différentes et parfois diamétralement opposées. Peut-on parler de participation démocratique quand le délégué de classe est chargé de collecter les fonds pour l'excursion, d'escorter un condisciple "délinquant" chez le préfet, de surveiller la classe en l'absence du prof ou d'effacer le tableau ? Peut-on parler de participation démocratique quand quelques délégués d'élèves sont noyés parmi de nombreux adultes, véritables "pros" de la réunion, au sein du Conseil de Participation de leur établissement ?
Peut-on parler de participation démocratique quand la direction rêve de voir les élèves animer la vie de leur école, pour la rendre plus attractive dans un contexte de concurrence avec les écoles voisines, sans rien remettre en cause par ailleurs ? Quand la direction tente d'utiliser les délégués pour mettre le grappin sur le(s) coupable(s) de déprédations dans les toilettes ? Quand on présente, à l'occasion de visites au Parlement par exemple, les institutions de l'Etat comme le nec plus ultra insurpassable de la démocratie ?
Lettre ouverte à Mme Arena
Liège, jeudi 24 mars 2005
Madame la Ministre,
Vous avez souhaité que les acteurs « de base » ou « de terrain » réagissent à...
Le niveau baisse ? – Les grandes leçons de notre enquête
Ca y est ! Les résultats de notre grande enquête sur le "niveau" de l'enseignement et son évolution sont disponibles ! Pas moins de...














