Une règle de priorité absurde et discriminatoire
C’est sous la pression d’un petit groupe d’immigrants flamands, que le Parlement flamand vient d’instaurer dans l’enseignement bruxellois la règle de priorité de 55...
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Le...
iPad en classe : danger !
Le collège Sint-Pieter et l'école de commerce Sint-Jozef (SPSJ) de Blankenberge ont donc franchi le pas : leurs 710 élèves ont dû se présenter en classe le 3 septembre munis d'un iPad.
Je n’affirmerai pas que l’utilisation d’une tablette est forcément superflue en classe. Je conçois parfaitement qu’on puisse trouver un certain avantage dans la mise à disposition de tous les documents de cours sur un support relativement léger, dans le fait que les élèves aient un accès personnel à Internet durant les cours, dans les synergies qui peuvent naître d’une communication facile entre élèves et professeurs, etc.
Pourtant, on aurait tort d’imaginer que l’utilisation d’une telle technologie en classe n’aurait que des avantages.
De la désobéissance des enseignants du primaire
Au printemps de l’année 2008, le ministre de l’Education Nationale Xavier Darcos fait subir un traitement de choc à l’école primaire, officiellement pour combattre l’échec scolaire, en réalité pour mieux faire passer la pilule des restrictions budgétaires, des suppressions de postes et de la disparition de la formation pédagogique. Ce faisant, il impose à la profession des dispositifs, notamment les nouveaux programmes, l’aide personnalisée, les évaluations nationales et le livret de compétences, qui portent atteinte, non seulement à la liberté pédagogique inscrite dans la loi, mais également à l’éthique et aux convictions de nombreux enseignants du primaire. Il ne s’agissait pas de recommandations, ce qui aurait été souhaitable pour laisser la place au droit d’innovation et à d’autres expérimentations, mais bien d’obligations qui ont profondément heurté la conscience de milliers d’enseignants d’abord soucieux du progrès de tous les élèves.
Film en brochure Cuba-studiereis 2005
Tijdens de paasvakantie 2005 organiseerde de Oproep voor een Democratische School een studiereis naar Cuba. Een groep van negentien enthousiastelingen (op twee na allemaal onderwijsmensen) proefde gedurende veertien dagen van de Cubaanse gastvrijheid en kreeg de binnenkant te zien van het onderwijssysteem, van de kleuterschool tot de universiteit, van het tweede kansonderwijs tot een gehandicapteninstelling.
Van deze reis bestaan nu een film (DVD) en een brochure.
Disparités entre élèves
J'ai terminé mes humanités à l'athénée royal Riva bella de Braine-l'Alleud à la fin des années soixante. A l'époque, l'athénée s'enorgueillissait de fonctionner depuis quelques années en tronc commun sur les trois premières années du secondaire.
Par conséquent, cela me fait sourire quand on propose en tant que réforme - quarante ans plus tard - le tronc commun au cours des deux premières années du secondaire[[En France, sous Louis XV, le président du parlement Rolland d'Erceville proposait un tronc commun dans son « Compte rendu relativement au plan d'étude à suivre dans les collèges » (1770).]]
France : lettre ouverte au ministre de l’Education nationale
Nous ne prenons pas la plume dans un esprit de revanche mais avec une exigence de justice, cette même exigence de justice qui a animé François Hollande durant toute la campagne présidentielle et qui, nous l'espérons tous, marquera profondément le quinquennat qui s'ouvre.
Fédération Wallonie-Bruxelles : 25% des nouveaux enseignants sans compétence disciplinaire ou pédagogique précise
La pénurie d’enseignants n’a pas pour seule conséquence le nombre considérable d’heures de cours non données aux élèves. Faute de candidats possédant les titres...
Le système finlandais : excellence et équité
L’intérêt pour la Finlande dans le domaine éducatif est bien sûr alimenté par les excellents résultats de ce pays dans les évaluations internationales et notamment dans la plus célèbre d’entre elles, PISA.
Cette excellence, confirmée à chaque nouvelle session, conduit naturellement à chercher les recettes d’un succès aussi constant, particulièrement quand son propre pays ne parvient pas à décoller d’une position à peine médiane, fort décevante eu égard au budget consacré à l’éducation et à la réputation longtemps justifié de meilleure école du monde.
Normes de transposition et modes de transmission
Deux questions demeurent souvent dissociées dont l'interdépendance, pourtant, est décisive pour qu'ait lieu l'acte d'apprendre: la question des savoirs, c'est à dire des contenus à enseigner, laissée aux experts patentés, et la question des méthodes, laissée aux pédagogues. Au mieux, la jonction entre ces deux questions pense pouvoir se régler sur le seul champ de la didactique disciplinaire.
Or quelles que soient les disciplines se joue l'écart entre les savoirs réels (qui sont les savoirs savants du patrimoine scientifique, culturel) et les savoirs prescrits, fixés comme savoirs à enseigner. C'est cet écart qui constitue la transposition, faite d'étagements successifs, depuis l'établissement officiel des savoirs fixés par les programmes et référentiels, en passant par ceux qui figurent dans les manuels et jusqu'aux savoirs effectivement enseignés auprès des élèves. C'est de cet écart dont il est question ici et de ses conséquences concrètes, inévitables, sur les méthodes pédagogiques utilisées, tant dans leurs conceptions que dans leurs mises en pratique.














