Ségrégation scolaire : la faute au marché plus qu’au quartier

Les opposants aux politiques de régulation des inscriptions scolaire avancent généralement un argument massue : si l’on privilégie une école de proximité, alors les enfants de milieux populaires seront encore davantage confinés dans des écoles ghettos. Cet argument vole en éclats à la lecteur de l’étude intitulée « La ségrégation scolaire, reflet déformé de la ségrégation urbaine », que Bernard Delvaux et Zliz Serhadlioglu publient dans le numéro d’octobre des Cahiers du Girsef. Leur travail constitue d’ores et déjà une contribution scientifique essentielle à la lutte contre les effets néfastes des marchés scolaires.

Le ministre bruxellois Guy Vanhengel plaide pour une École normale bilingue

Le ministre bruxellois compétent en matière d'enseignement néerlandophone en Communauté flamande (VGC), Guy Vanhengel (Open Vld), a plaidé le 5 février en faveur d'un...

La faisabilité technique du projet de l’Aped

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Bruxelles: insurmontable problème ou incontournable solution ?

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Insuffisances et effets pervers des tentatives de régulation des inscriptions

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