Dans une brève du 15 juillet, nous vous parlions de la famille Megdad – trois enfants – détenue en centre fermé.
Un avocat a obtenu leur libération. Selon l’ordonnance, les candidats réfugiés n’ayant jamais manifesté la volonté de ne pas respecter un ordre de quitter le territoire, le ministre de l’Intérieur ne peut nullement démontrer la nécessité d’une arrestation. Leur détention n’était pas motivée, et elle est donc annulée. Voilà l’Etat une fois de plus pris en flagrant délit de ne pas respecter, simplement, des droits parmi les plus élémentaires…