Le déterminisme biologique et social du concept d’intelligence

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L’expression  » signification évolutive  » est empruntée à Ernest Schoffeniels pour avantageusement remplacer celle de  » fonction « ,trop souvent utilisé dans le jargon à la fois populaire ou même scientifique. Il est vrai qu’en langage courant le mot  » fonction « appliqué à un objet, vivant ou non, renvoie inévitablement au  » projet  » sous-tendant la création dudit objet et par voie de conséquence à un éventuel  » auteur de projet « .Le volant de l’automobile a de toute évidence pour fonction d’orienter les roues du véhicule ;nous savons que telle était l’intention du créateur. Pour les systèmes vivants, il y va tout autrement : ce sont des pressions évolutives, au très long cours, qui s’exerçant par essais et erreurs sous des contraintes environnementales déterminantes qui ont abouti à façonner les systèmes vivants et les propriétés que nous apprenons à découvrir aujourd’hui (voir commentaires sur le livre consacré à Darwin, ndlr). On comprend aisément pourquoi l’expression  » fonction « , suggérant presque intuitivement la notion de  » créateur « , pour décrire de telles propriétés, ait prédominé dans une ambiance idéologique globale tout empreinte du  » créationnisme  » religieux. A celui-là nous préférons les expressions de  » signification évolutive « , terme plus exact et en tous les cas idéologiquement plus neutre pour parler d’une propriété particulière des systèmes vivants que constitue l’intelligence humaine.
C’est aussi à nos yeux une autre manière de rappeler que le cerveau humain qui après tout est le siège de cette intelligence, n’est en fait qu’un état particulier de la matière universelle en perpétuelle évolution. Celle-ci, dans les systèmes vivants, parcourt cette évolution dans le sens d’une complexité croissante.

Le cerveau de l’Homme, dans ce contexte, apparaît aujourd’hui comme partie d’organisme vivant, le plus abouti de l’évolution. N’oublions pas que ce jugement est porté par l’Homme lui-même sur le degré de perfectionnement des espèces. Mais là commence peut-être l’ébauche d’une théorie évolutive de l’intelligence. Car sur quels critères peut-on assurer ce degré de supériorité d’une espèce sur une autre ? Et cette réflexion, une fois réalisée entre différentes espèces, qui dira qu’elle ne s’étendra pas à l’intérieur de l’espèce humaine, entre les différentes races d’abord, pour gagner ensuite les différents types d’une même race, et finalement s’intéresser aux différentes couches sociales ? À moins que le travail ne se déroule dans l’autre sens, partant de critères sociologiques purs trouvant prétextes et refuges dans le règne animal voisin pour les justifier.
Aux yeux d’un observateur du vivant, l’espèce intelligente est celle qui survit en s’adaptant, et qui contribue à sa propre pérénité.La définition pourrait heurter les idéologues de l’héroïsme, mais peut-on qualifier d’intelligent une espèce dont les mécanismes d’adaptation ont conduit a sa propre disparition. La définition ici est collective et ne vaut que pour un pluriel. Loin de nous de dire qu’un individu isolé poussé à l’autolyse ne fait pas preuve d’intelligence.
On simplifiera le problème par une équation lapidaire : l’intelligent est celui  » qui comprend.  » Mais pourquoi faut-il comprendre, et qu’il y a-t-il donc à comprendre sinon les mécanismes utiles à la survie ? Pour régner, pour aider, pour survivre, chercher à savoir apparaît comme un besoin naturel de l’individu bien portant, quelque soit l’espèce et ses moyens. L’on peut montrer que cette recherche d’un savoir et de l’exploration de l’environnement en général n’est pas le propre de l’Homme. La curiosité n’est pas pour autant universelle, les espèces qui en sont dépourvues s’éteignent.
D’où une proposition de définition :l’intelligence est cet état particulier de la matière vivante cérébrale qui permet une compréhension adéquate du réel (sa réalité propre, en particulier génétique, celle de l’environnement et de leurs interactions) afin de l’adapter aux conditions optimales de survie de l’espèce (et non d’un individu en particulier).
Au niveau sociologique cette définition semble s’être cependant étendue au domaine plus individuel : l’Homme intelligent est celui qui s’adapte à ses contraintes vitales, en ce compris les échanges sociaux parce qu’il a compris et assimilé les comportements a adopter pour se maintenir en survie dans les meilleures conditions de bien-être.
On voit ainsi immédiatement les aspects dialectiques de cette caractéristique humaine : les outils de l’intelligence seront à la fois d’origine intrinsèque, biologique et extrinsèque sociologique. Sans que jamais on ne puisse les dissocier, les deux pôles de cette contradiction contribueront à déterminer les règles d’évaluation en vigueur.

Le cerveau Humain, siège de l’intelligence.

A ceux qui professent que l’intelligence n’est pas une affaire de gènes mais uniquement d’apprentissage, il faut sans cesse rappeler que le développement d’un organe corporel tel que le cerveau est piloté par les mécanismes d’expression géniques. Se souvenir que tout le monde s’accorde à dire qu’il existe de toute évidence des handicaps mentaux d’origine biologique, et que la première condition d’une intelligence humaine  » normale « est un cerveau en bon état de marche n’est pas forcément adopter les positions  » fascisantes « de certains socio-biologistes.
Les neurosciences nous procurent de plus en plus d’informations sur le contrôle génique du développement corporel, du cerveau, en particulier et aussi sur la constitution des premières synapses et connectivités cérébrales (1). A partir de quand dans ce long processus complexe, l’environnement jouera-t-il ? La réponse à cette question telle qu’elle va être formulée rendra caduque les notions répandues d' » inné  » et d' » acquis « .En effet, dés la fécondation de l’ovule par le spermatozoïde, et la mise en place du nouveau patrimoine génétique le déterminisme de celui-ci va entrer en relations dialectiques constantes avec celui des facteurs environnementaux. Le patron génétique général subira sans cesse la façon de l’environnement et vice versa. Ce mécanisme s’intensifiera au prorata du développement de l’individu. La vision qui consiste à voir en l’inné tout ce qui se passe dés la fécondation, et croire que tout y est écrit, comme celle qui consiste à concevoir l’acquis à partir du jour un de la vie post natale, voire même plus tard, pour certains pédagogues, devrait être idéalement dépassée si l’on veut mieux appréhender le concept d’intelligence. La conception du fonctionnement cérébral comme état particulier de la matière en évolution rend, en fait, obsolète ces notions d’acquis et d’inné, trop empreintes d’idéologie dominante le plus souvent contraignante.

Pour piloter l’intelligence le cerveau se situe sans cesse entre gènes et environnement.
Nous devons nous convaincre que ce qui est vrai pour la matière vivante en général, l’est évidemment pour notre cerveau, siège de l’intelligence, qui nous occupe ici. Il est au cœur d’une lutte d’influences permanentes entre pouvoir génique et environnemental.
Le pouvoir des gènes sur le fonctionnement cérébral est une évidence. Il assure l’invariance de son organisation .
A l’oeil nu, comme au microscope, l’anatomie du système nerveux paraît, dans ses grandes lignes, reproductible à l’intérieur de l’espèce et d’une génération à l’autre. Des mutations géniques engendrent des modifications anatomiques du cerveau et des pathologies sévères de ses propriétés. Des troubles du comportement apparaissent à la suite d’une mutation sans que se manifestent de perturbations évidentes de l’anatomie du système nerveux. L’hérédité des comportements n’est pourtant pas certaines même si des anomalies moléculaires isolées sont associées à des tableaux génétiques reproductibles et à des comportements observés grossièrement semblables. L’exemple humain de la psychose maniaco-dépressive est démonstratif à ce sujet..
Les tables de la loi sont peut-être inscrites dans l’ADN des chromosomes mais on se rappellera que tous les gènes (2) ne sont pas exprimés dans toutes les cellules. Or nous savons que le contrôle de l ‘expression quantitative de certains gènes comprend des facteurs d’environnement, surtout au cours de l’apprentissage. Le monde extérieur exercera son influence au travers du système nerveux sensoriel, et des mécanismes de communication hormonale. Comprendre le déterminisme génétique de l’organisation cérébrale passe par le déchiffrage de l’ADN et son expression en protéines, soumis à influences environnementales. Un million de gènes pour organiser plusieurs dizaines de milliards de neurones et leurs connections synaptiques , c’est possible grâce aux cellules automates et aux gènes homéotiques qui planifient l’organisation au cours du développement. Mais lorsque l’enfant naît si ses neurones corticaux ont cessé de se diviser, les gènes continuent d’agir dans bien des domaines contrôlant l’activité cérébrale.
L’influence de l’apprentissage est d’emblée évidente.
Le pouvoir des gènes s’étend-il aux détails les plus fins de l’organisation du cerveau.? Peut- on affirmer qu’un déterminisme strictement génétique rend compte intégralement de la complexité d’assemblage de l’encéphale humain ? Un seul noyau, le même ADN, sert, une vie durant, à la mise en place, à l’entretien de dizaine de milliers de synapses et ceci est très difficile à expliquer par de simples mécanismes d’expression génique .Il existe un très grand nombre d’arguments expérimentaux démontrant l’influence de l’environnement sur la plasticité cérébrale. Les connectivités synaptiques et leur fonctionnalité, tant dans l’apprentissage visuel qu’auditive sont largement conditionné par les stimuli du monde extérieur ;L’apprentissage du langage n’est possible que dans des environnements adéquats et chacun sait que sans l’école la pratique du calcul est impossible.
Jean-Pierre Changeux a résumé cette façon de voir par son explication de  » L’épigenèse par stabilisation sélective de synapses » mécanisme s’exerçant au niveau de l’ensemble du réseau neuronal dans les trois dimensions de l’espace cérébral. Il est clairement démontré entre autres qu’apprendre pour un cerveau consiste avant tout à répondre aux sollicitations de l’environnement(aux stimuli) en éliminant du matériel redondant mis en place par le patrimoine génétique. » Apprendre, c’est éliminer  »
Les vrais jumeaux n’auraient pas strictement le même cerveau, si l’on en juge par d’autres données expérimentales mesurant l’état des connectivités synaptiques et des performances cérébrales dans certaines espèces. La résultante de tout ceci est qu’il faut concevoir que les images mentales sont matérielles. Percevoir, intégrer, mémoriser, reconstruire mentalement, s’émouvoir, penser, réfléchir, constituent donc des états privilégiés de la matière cérébrale humaine. La pensée (comme l’intelligence) est matière.

Le déterminisme social de l’intelligence

L’intelligence est-elle héréditaire ? Placez l’enfant d’un prix Nobel seul, en compagnie de la flore et de la faune amazonienne , et vous verrez s’il sera reçu à Harvard à 18 ans.
Si l’intelligence consiste à s’approprier au mieux la connaissance des conditions d’une survie heureuse, on comprend tout de suite qu’elle dépendra, à un moment donné, des conditions de vie de l’espèce. Or il est évident que celles-ci varient considérablement dans l’espace géographique et temporel pour chaque formation sociale déterminée. Celles-ci ont élaboré au fil du temps leurs contraintes idéologiques en fonction des rapports entre les classes sociales.
C’est donc, en dernier ressort, l’état des rapports entre ces classes qui, dans une formation sociale particulière, à un moment donné de son histoire, détermine le contenu du savoir prioritaire. En conséquence, l’histoire du monde contient et contiendra toujours une grande diversité de conduites intelligentes parfois diamétralement différentes voire contradictoires. Il n’y a pas d’intelligence universelle et donc il ne peut y avoir d’intelligence purement héréditaire.
Dans la Belgique actuelle, l’école qui fait partie intégrante de l’appareil idéologique d’un Etat gérant une société capitaliste est surdéterminée à privilégier un certain savoir, adapté à la situation contemporaine. Le contenu idéologique de ce savoir a autant d’importance, si pas plus que sa quintessence technique. On apprend en effet, de préférence, à écrire, calculer, s’informatiser, parler d’autres langues, ainsi que quelques trop rares données de sciences et d’histoire. On n’apprendra pas à observer le monde des insectes ou des plantes, et les prendre en modèle, à s’émerveiller sur des détails naturels, à organiser des séances de création artistique, à s’interroger sur la morale des dieux des hommes, à diversifier ses pensées philosophiques, à porter secours à des espèces en détresse,.Bref, un programme d’une école au service d’une société plus contemplative, dans laquelle le profit n’aurait plus droit de cité ne peut pas être généré. De telles écoles existent et ont existé. Face à de tels systèmes, les enfants ne sont pas et ne peuvent pas être sur un même pied d’égalité. Il est évident que qui serait performant dans un système pourrait bien ne pas l’être dans l’autre.

L’attitude progressiste face au concept d’intelligence scolaire ».

Si l’on se réfère à ce qui vient d’être dit, l’expression « intelligence scolaire » s’appliquera aux enfants dont la matière cérébrale a bénéficié des pressions respectives de ses gènes et de son environnement au point qu’ils sont devenus capables d’assimiler les normes de leur système d’enseignement.
Autre conséquence de ce qui vient d’être exposé :  » Le don n’existe pas »! Si le don de l’informatique existait, l’informatique aurait du apparaître avec l’Humanité. Et puis par qui aurait-il été  » donné ?  » Il n’y a que des matières ou certains excellent plus que d’autres. Si ces matières sont à la mode, le « don » se fait jour dans les discours. Si ces matières ne sont pas à la sauce de l’idéologie dominante, il n’y aura pas de « don ». Il n’y avait pas de « bosse des math » au Moyen-Age simplement parce que les mathématiques étaient réservées aux moines.
Nous sommes différents en naissant face à un système éducatif particulier non diversifié. Il ne faut pas renier le pouvoir des gènes. C’est une donne. Il faut en tenir compte. En ce sens il ne peut y avoir égalité et c’est tant mieux. Il n’y a pas deux enfants qui ont strictement le même cerveau en naissant. Et c’est tant mieux !
Il faut éviter l’écueil « gauchiste » qui consiste à proclamer des contrevérités du style :  » tous les enfants sont égaux face à l’école » . Non. Tous les enfants ont certes, au départ des facultés identiques ou diversifiées pour aboutir à une même connaissance du réel autours d’eux, de le connaître de multiples façons. Plusieurs approches pouvant aboutir à un même résultat.
Mais face à un système donné , il y aura forcément inégalité, en regard justement de la diversité des cerveaux en présence, qui ont déjà derrière eux 9 mois de gestation in utero et 5 à 6 ans ou plus de conditionnement socio -culturel. Tous les enfants seraient égaux face à des systèmes d’enseignement diversifiés, tous ne le sont pas face à une école au service du mode de production des biens dominant.
C’est le procès de la norme scolaire qu’il faut faire et non celui de l’inégalité ou d’une intelligence biologique.
Tous les enfants seraient égaux face à l’école idéale, ils ne le sont pas face à l’école que nous connaissons. Les gauchistes sont des poètes enthousiastes qui ont toujours eu la mauvaise habitude de prendre leurs désirs pour des réalités. Proclamer l’inégalité des individus n’est pas un slogan d’extrême droite, c’est un fait.

Ces inégalités doivent d’ailleurs être mises à profit car une certaine richesse surgit du métissage des genres. La non égalité entre individus du même âge va se révéler face à l’unicité, l’homogénéité, d’un système éducatif qui définira des normes de performance. Dans ces circonstances, un enfant n’a jamais atteint ses limites, car en principe il n’en n’a pas. Il pourra éventuellement atteindre des limites imposées par le système éducatif dans des matières particulières.

En conséquence, mettre à profit les différences à l’école nécessite de faire sauter l’école normative. Sommes nous prêts ? Peut-on prévaloir un tel objectif en dehors d’une démarche politique plus vaste ? Alors, me direz vous s’il faut faire la révolution pour progresser !
Il n’est pas question d’attendre un changement politique pour commencer à améliorer les choses. Sans être pédagogue, ni ministre de l’enseignement, je pense que la diversification des méthodes, les procédés pédagogiques nouveaux, la prise du pouvoir pédagogique par l’imagination anti-normative, pourraient engendrer des conduites à l’école de la part des enseignants qui n’aient nul besoin de subsides ou de grandes réorganisations. Bien sûr si cela s’inscrivait dans un mouvement idéologique plus vaste ce serait sans doute plus simple. Mais c’est peut-être justement les générations d’individus que vous auriez formés avec cette nouvelle idéologie, qui, pourrait plus tard le créer.
Quelle valeurs développer ?
En un : la solidarité et le rejet des pédagogies compétitives.
En deux ouverture sur le monde et le métissage des approches.( même s’il faut reporter à plus tard l’apprentissage du calcul par ex. )
En trois, expliquer l’histoire en considérant l’évolution du rapport entre les classes comme moteur.
En quatre, ouvrir l’école sur la réalité du monde social.

Thierry Grisar
(Professeur à l’Université de Liège)

(1) : Le cerveau est, comme chaque partie d’un être vivant, composé de cellules. Les cellules du cerveau s’appellent les neurones. Nous en avons à peu près 100 milliards. Ces neurones sont reliés entre eux (chaque neurone est relié à 10.000 autres) par l’intermédiaire d’  » fil télégraphique  » appelé axone. C’est le sens qu’il faut donné à  » connectivités cérébrales « .
Les synapses sont les zones de contact entre un axone et un neurone.
(2) : En gros, un gène est une partie (un segment) d’ADN, celui-ci étant présent dans les noyaux de nos cellules. Nos gènes nous sont transmis par hérédité et sont responsables chacun d’un caractère déterminé (couleur des yeux, des cheveux)

2 COMMENTS

  1. > Le déterminisme biologique et social du concept d’intelligence
    Merci.

    Je suis maman d’un enfant précoce et me pose beaucoup de questions sur le fonctionnement du cerveau et l’intelligence…. Ce n’est pas du tout mon domaine; une simple curiosité. Je le vais le relire…

    • > Le déterminisme biologique et social du concept d’intelligence
      Je suis élève bachelier,j’ai 18 ans et mon but depuis la classe de 4ème est de concevoir un vaisseau spatial different de ceux que nous connaissons aujourd’hui.J’ai beaucoup étudier les comportements des plus grands savants du passé et d’aujourd’hui.
      je ne pourrais pas vous dire grand chose sur le fonctionnement du cerveau et de l’intelligence comme un psychologue.Mais je vous dirai plutôt ce que j’ai remarquer sur ces deux choses.
      Tout d’abord il faudrait comprendre que le cerveau est comme un muscle.C’est un muscle d’un autre genre.De ce fait il peut se fortifier et devenir plus performant à condition que celui qui porte le cerveau ait la volonté suffisante pour le faire.Mais la volonté ne suffit pas il faut également de la connaissance sur ce qu’il faut faire pour developper les capacités du cerveau.Dans la volonté d’aider votre enfant je vais vous donner quelques exemples et moyens concernant l’intelligence et le cerveau.
      Les scientifiques des sciècles passés affirmaient que le cerveau s’entraine quand nous sautons et quand nous dormons ceci expliquerait pourquoi la plupart des élèves se sentent bien lorsqu’ils pratiquent des sports qui impliquent le saut.En ce qui concerne le sommeil n’importe quel medecin sait que le moment où le cerveau travaille le plus est lorsque son porteur est endormi.En général le sommeil est conseillé à quiconque veut non seulement rester en bonne santé,mais surtout aux surdoués qui ont besoins d’un parfait équilibre émotionnel dans un monde où on les comprend de moins en moins
      il est évident que je pourrais encore vous donner plusieurs facteurs d’intelligence.Mais il faudra d’abord que je m’assure que ce message vous est parvenu et surtout que vous voulez encore que je continue à vous renseigner sur mes autres découvertes sur cette fantastique capacité qu’est l’intelligence

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