Pourquoi un cours de philosophie ?

On l’a souvent remarqué ces dernières années, la question de l’introduction d’un cours de philosophie dans l’enseignement secondaire belge s’apparente à un monstre du Loch Ness qui, depuis bientôt trente ans, ne cesse de ressurgir dans les agendas de certains parlementaires sans que jamais l’identification des conditions de possibilité de sa survie communautaire soit possible.

2. Une formation générale et polytechnique pour tous

- Il est totalement impossible de poursuivre tous ces objectifs dans le temps scolaire ! - Plus de temps à l'école ? Ils s'y ennuient déjà ! - Et...

Le tronc commun dans le Pacte d’excellence

Ce texte de Pierre Waaub, enseignant, militant à CGé (Changement pour l’égalité) et chargé de mission pour la FGTB-Enseignement sur le Pacte d’excellence, reprend...

De quoi l’instruction polytechnique est-elle le nom ?

L’obscurantisme semble avoir encore de beaux jours devant lui. L’assassinat de Samuel Paty a particulièrement frappé la communauté éducative. Nous a ainsi été brutalement...

Echecs en math : et si on examinait les programmes d’étude ?

Le journal Le Soir de ce 21 janvier nous apprend que seuls 56% des élèves de 2e secondaire ont réussi le test de maths aux épreuves externes du Certificat d'Etude du Premier Degré (CE1D). Nous apprend ? Y a-t-il un professeur de maths ou de sciences dans l'enseignement secondaire qui aurait douté de ce résultat ? Cela fait des années qu'on l'observe et cela fait des années que la situation empire d'année en année. Les notions de base ne sont pas assimilées. Les élèves ont vaguement entendu parler d'angles, de pourcentages, de graphiques ou d'équations, ils connaissent les noms de Pythagore et de Thalès, mais rien n'est réellement acquis, rien n'est maîtrisé. Six années de primaire et deux années de secondaire inférieur semblent n'avoir laissé que des traces superficielles dans le cerveau des jeunes. La faute aux instituteurs ? La faute aux régents du premier degré ? Ou plutôt, la faute à une atmosphère générale qui ne valorise guère la rigueur et le travail systématique ? En tout cas, la faute à des programmes qui manquent cruellement de précision, de cohérence et de lisibilité.

Pourquoi se battre pour une école démocratique ?

Nous publions ci-dessous le texte intégral du discours de Nico Hirtt aux "Six heures pour l'école démocratique" qui ont eu lieu à Bruxelles, le 16 octobre dernier. En raison de sa participation au Forum Social européen à Londres, où il devait intervenir comme orateur lors d'un séminaire sur le thème "Enseignement et globalisation en Europe", Nico Hirtt est arrivé trop tard à Bruxelles et son discours a été lu par Jean-Pierre Kerckhofs, président de l'Aped.

Obésité

Que vient faire l’obésité sur un site dédié à l’enseignement ? Je viens tout simplement de lire la chronique « santé » signée Gilles Goetghebuer...

Enseignement professionnel : à mort l’école des classes populaires !

Nous reproduisons ici un texte initialement paru sur le site de la Gauche Écosocialiste. Cet article rend admirablement compte de la subordination de l'École...

Storytelling : on nous raconte des histoires…

Christian Salmon est le premier à nous renseigner sur cette « tendance » venue des États-Unis qui touche presque tous les champs du pouvoir...

L’obsession des « compétences » à l’école : un mal nécessaire ?

Les deux dernières décennies ont vu apparaître, dans les systèmes éducatifs de la plupart des pays industrialisés, et d’une manière que l’on peut qualifier...

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