CESS: Entretien avec Martine Herphelin, du Service général du Pilotage du système éducatif
Pour en savoir plus sur le CESS et adopter une perspective historique, nous avons interrogé Martine Herphelin, qui a dirigé le Service général du Pilotage du système éducatif en Communauté française de 1999 à 2014. C’est ce service qui gère la conception et l’organisation des épreuves externes en Fédération Wallonie-Bruxelles. Martine Herphelin a donc été une actrice et un témoin de premier plan du processus de mise en place des épreuves externes.
La faisabilité technique du projet de l’Aped
Pour mettre en oeuvre, concrètement, ce projet, il faut disposer d'un certain nombre de données et d'outils pratiques.
La constitution d'un indice socio-économique individuel pour...
Les vautours du coronavirus 1
Dans mon quartier-village du centre-ville de Liège, les habitants ont constitué depuis des années une mailing-liste pour toutes les communications utiles. En ces temps...
Principes généraux en vue d’un décret
Voici ci-dessous les principes généraux en vue d'un décret régulant les modalités d'inscription des élèves dans les écoles maternelles et primaires ainsi que pour...
Critiques de l’école numérique
Ouvrage collectif coordonné par Cédric Biagini, Christophe Cailleaux et François Jarrige
Le numérique s’implante de plus en plus profondément dans l’enseignement, de l’école à l’université,...
Soutenez, signez !
Chaque enfant a droit à une place dans une école socialement mixte à proximité de son domicile. Soutenez l'initiative citoyenne en signant ci-dessous !
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Rouvrir les écoles en mai ?
Annoncée par Emmanuel Macron, la réouverture « progressive » des établissements scolaires, à l’exclusion du supérieur, est souhaitée par tous. Mais pas question de transiger sur...
Initiative citoyenne: « Une place pour chaque enfant dans une bonne école »
Parce que la ségrégation scolaire est l’une des grandes plaies de l’enseignement belge… Parce qu’elle est une cause majeure de l’iniquité de notre enseignement…...
Enseignement secondaire, une mue progressive et insidieuse
Le Rénové, initié dans les années ’70, reste la dernière refonte ambitieuse de l’enseignement secondaire en Communauté française de Belgique. Ce qu’il avait de meilleur a été cassé par les mesures d’austérité prises dans les années ’80 et ’90.
Depuis lors, on assiste plutôt, d’une part, à une succession de déclarations de pieuses intentions (décret Missions, Contrat pour l’Ecole), et, d’autre part, à des réforme(tte)s qui semblent très disparates. Que peuvent bien avoir en commun, en effet, des mesures aussi différentes que la réforme du premier degré (autour d’un tronc commun jusqu’à 14 ans), l’approche par compétences, la discrimination positive, le décret inscriptions, l’immersion linguistique, les classes-passerelles, la certification par unités (CPU), la multiplication des évaluations externes – certificatives ou non -, l’extension des CEFA, les dispositifs d’accrochage scolaire et le développement des Centres de technologies avancées ?
Petit à petit[[Il y a cette tendance des pouvoirs publics à procéder par « expériences pilotes », puis à imposer une généralisation de la réforme (c’est le cas avec les CPU, d’abord testées auprès des mécaniciens automobiles et métiers de l’esthétique).]], pourtant, toutes participent d’un remodelage d’autant plus pernicieux qu’il se fait au coup par coup et que sa logique n’est guère apparente. Dans cet article, nous ferons le point sur quelques-unes de ces mesures… et tâcherons de mettre à nu les logiques sous-jacentes qui les sous-tendent.
Une princesse contrainte au « second choix »
A quelques jours de la rentrée scolaire, la presse du Royaume se fait l’écho d’une nouvelle de la plus haute utilité publique : la...