Montessori, encore elle…
Probablement en raison de la marchandisation outrancière dont la pédagogie Montessori est l’objet, cette pédagogie jouit aujourd’hui d’une couverture médiatique sans précédent. Il est...
Grèce : vers une police universitaire ?
Le gouvernement Mitsotakis se manifeste par un conservatisme de plus en plus droitier. Aux dernières élections, le parti majoritaire, « Nouvelle démocratie », a d’ailleurs siphonné...
Il y a tronc commun et tronc commun !
La crise sanitaire aura éclipsé l’événement : l’année 2020-2021 restera dans l’histoire de l’enseignement en Fédération Wallonie-Bruxelles (FWB) comme celle de l’entrée dans le...
Le goût amer des réformes universitaires
Le 19 juin 1999, les ministres de l'enseignement supérieur de 29 pays européens, réunis à Bologne, s'engageaient dans un processus visant à créer un “espace européen d'enseignement supérieur”...
Polémique autour de l’orientation vers l’enseignement spécialisé
Le Soir du vendredi 30 août laissait une large place au débat lancé par Infor-Jeunes Laeken lié à l’orientation vers l’enseignement spécialisé((L’enseignement spécialisé « poubelle »...
Réformes de l’école secondaire : un enjeu et des escroqueries intellectuelles
Si nous avons décidé de consacrer un dossier à l’école secondaire (et une journée d’étude le samedi 2 mars 2013), c’est qu’elle constitue l’étage supérieur de l’enseignement obligatoire[[Personne cependant ne niera l’importance capitale de l’école fondamentale (maternelle et primaire). A l’Aped, nous prônons d’ailleurs un continuum de 6 à 15 ans, commun à tous les enfants, et une obligation scolaire dès l’âge de 3 ans. ]] et qu’elle est sujette à une mutation aussi préoccupante qu’insidieuse.
Avant de passer en revue quelques-uns des traits de cette mutation en cours, et de vous livrer des témoignages émanant du terrain, il nous faut à tout prix clarifier les termes du débat. Réaffirmer d’abord quel est, selon nous, l’enjeu de l’école : à leur majorité, tous les jeunes doivent disposer des outils intellectuels leur permettant d’exercer une citoyenneté critique, être capables de comprendre le monde et de participer collectivement à sa transformation. Il nous faut ensuite dénoncer les leurres, les escroqueries mentales qui polluent constamment la réflexion sur l’enseignement secondaire. Primo : il y a échec et échec, lutter contre l’échec scolaire ne peut se réduire à faire baisser artificiellement les statistiques du redoublement ou du décrochage. Secundo : non, l’école ne sert pas à lutter contre le chômage, ceux qui le prétendent nous enfument avec un discours pseudo-humaniste, pseudo-social et pseudo-progressiste.
Radicalisés dès la maternelle ?
Une école de Renaix, en Flandre orientale, s’est inquiétée de signes de «radicalisation» islamiste observés par des enseignants chez des enfants de classes maternelles....
Bologne : à quelle sauce serons-nous mangés ?
Depuis le démarrage du processus de Bologne, il y a plus de 5 ans déjà, on en parle à toutes les sauces. Mais souvent pour mieux cacher l'essence même du processus. Qu'en est-il finalement ? Nous tentons d'y répondre brièvement dans cet article[[Une analyse plus fouillée du processus se trouve dans l'Etude Marxiste n°56 disponible en ligne sur le site : www.marx.be]].
Emploi dual, école inégale
Depuis quinze ans, l'enseignement des pays industrialisés est redevenu plus inégal. La sélection sociale augmente, la dualisation des filières se renforce, l'écart entre les établissements d'élite et les écoles « poubelles » se creuse. Mais une telle évolution n'est-elle pas contraire aux intérêts de l'économie capitaliste ? Celle-ci ne risque-t-elle pas de se trouver à court de main d'oeuvre qualifiée ?
Les enseignants de l’Aped solidaires des travailleurs d’Arcelor Mittal
Nous étions quelques militants de l’équipe liégeoise de l’Aped à manifester ce mercredi 26 octobre sur la place de Seraing. A manifester notre solidarité envers les sidérurgistes du groupe Arcelor Mittal. Au-delà du plaisir de retrouver quelques anciens élèves devenus ouvriers et d’entretenir les liens de camaraderie qui nous unissent à d’autres mouvements de la gauche de gauche, qu’est-ce qui pouvait bien motiver la présence d’enseignants dans ce rassemblement ?














