L’apprentissage ou les apprentissages ?
L'opinion publique semble approuver très majoritairement la mesure annoncée par le gouvernement sur la mise en place de l'apprentissage à 14 ans. Gageons que...
La CPU, une catastrophe maintes fois annoncée.
Ce vendredi 11 septembre avaient lieu, dans mon école, les délibérations pour des élèves en 6ème technique option esthétique. Ces élèves ont en fait le « privilège » d’être les premières victimes d’un système défaillant : la certification par unités d’acquis d’apprentissage. [[La Certification Par Unités d’acquis d’apprentissage (CPU) a été introduite, dans le technique et le professionnel, de manière expérimentale et volontaire en septembre 2011 et a été rendue obligatoire (phase dite « organique ») en septembre 2013 dans 4 sections : esthéticien(ne), coiffeur(se), mécanicien(ne) d’entretien automobile et mécanicien(ne) polyvalent(e) automobile. Une 5ème section vient d’être ajoutée ce 1er septembre 2015 : couvreur-étancheur.]]Ce dispositif a pour objectif principal de valoriser les acquis des élèves tant dans la formation générale que dans la formation qualifiante. Mais il y loin de la coupe aux lèvres...
Fuites aux épreuves externes : surprenantes, vraiment ?
Il y avait d’abord eu l’épreuve externe d’histoire du CESS, puis l’examen de sciences du CE1D. Aujourd’hui, c’est au tour de l’examen de néerlandais du CE1D d’être annulé pour cause de fuites. Ce qui nous surprend le plus, dans cette histoire, c’est qu’elle… surprenne !
Construire le goût d’apprendre à l’école maternelle
Christine Passerieux, membre du GFEN et du groupe d'experts qui travaille sur les projets de programmes en maternelle, publie un ouvrage collectif dont elle...
22/04 : Colloque « Une place pour chaque enfant dans une bonne école »
La ségrégation sociale est l'une des grandes plaies de l'enseignement belge. Comment empêcher la formation d'écoles-ghettos et les inégalités d'apprentissages qui en découlent ? Comment garantir...
Formation des enseignants : la position de l’Aped
Il y a du changement en vue dans la formation initiale des enseignants, passant de trois à quatre ans. En 2011, une vaste opération...
Une princesse contrainte au « second choix »
A quelques jours de la rentrée scolaire, la presse du Royaume se fait l’écho d’une nouvelle de la plus haute utilité publique : la...
Le capitalisme fait-il monter le niveau ?
Peut-on dire que le développement de la production capitaliste ait engendré une demande croissante de formation des travailleurs et des consommateurs, qui expliquerait à...
Formation en alternance : les vrais enjeux derrière les discours sirupeux
En 1983, quand fut instaurée chez nous la formation en alternance, l’on pouvait encore nourrir quelque illusion sur la nécessité de proposer aux jeunes...
Pierre Hazette et l’intelligence de la main
Dans Le Soir du 13 juin 2012, Mr Pierre Hazette (MR) plaide en faveur d’une suppression du «premier degré commun». Son argumentation peut se résumer ainsi : trop d’élèves sont actuellement en souffrance au premier degré. Ils y traînent pendant quelques années, avant d’être réorientés, au terme d’un ou deux échecs, vers les filières de qualification qui, estime l’ancien ministre de l’Enseignement, leur conviennent mieux. En obligeant ces élèves à rester dans le tronc commun, dit-il, on nie «l’intelligence de la main». Voilà une prise de postions claire, qui appelait de notre part une réponse tout aussi claire.














