Selon les enseignants, le niveau baisse… mais pas pareillement pour tous

Lorsqu’on leur demande ce qu’ils pensent de la thèse « le niveau baisse », 39,5% des enseignants se déclarent « tout à fait d’accord » et 32,6% « plutôt...

Manière de voir : les combats de l’école

Le bimestriel thématique du Monde diplomatique consacre son numéro de juin - juillet 2021 à l’Ecole. On connaît les qualités de ce magazine qui...

Les inscriptions : et maintenant ?

Voici le compte rendu de l'atelier consacré aux inscriptions scolaires, à l'occasion des "Six Heures pour l'Ecole démocratique", le 17 octobre 2009 à Bruxelles. Les intervenants étaient Chantal Massaer d’Infor-Jeunes Laeken, Nico Hirtt de l’APED.

Une seule solution démocratique : l’école commune

L’éducation scolaire des jeunes générations pose trois questions :
  1. Qu’est-ce qu’on transmet ?
  2. À qui le transmet-on ?
  3. Comment le transmet-on ?
Contribuant à modeler l’avenir de nos sociétés, le contenu des transmissions (question 1) devrait constituer un objet de délibération démocratique et pas seulement de controverses expertes. Le fait que la réponse à cette première question reste relativement indéterminée n’empêche pas toutefois de mettre en travail les questions 2 et 3 : les exigences de l’appropriation des invariants de la culture écrite et de la formation de la pensée réflexive, ainsi que les contraintes inhérentes à l’état du développement des connaissances et de la société, configurent suffisamment, à cet égard, les contenus à transmettre. Je m’intéresse ici à la question 2, en sachant le caractère tout aussi décisif de la question 3[[Cf. notamment Jean-Pierre Terrail, Les Voies de la démocratisation scolaire.]].

La Libre donne la parole à un négationniste de l’inégalité scolaire

La Libre de ce jeudi 26 avril consacre une pleine page à une interview de Wouter Duyck, professeur de psychologie cognitive à l'UGent. Sous...

De la relativité du temps… scolaire


Profitant de la canicule de juillet, la ministre de l'Enseignement vient d'annoncer que, pour organiser les activités de «remise à niveau», les écoles pourront réduire les «heures» de cours à 45 minutes au lieu de 50. Progrès démocratique ou bricolage dérégulateur ?

Marie-Do en professionnelle

Dans le Soir du 14 mai 2012, nous découvrions le plan de la ministre Simonet pour endiguer l’échec et l’absentéisme en professionnelle. Suivant une méthode qui devient récurrente, elle veut partir d'expériences de terrain, dont certaines seraient appelées à être généralisées. Ainsi a-t-elle retenu 45 projets pilotes pour l'année à venir. Nous ne sommes d’accord ni avec sa définition de l’échec, ni avec son analyse des causes, ni avec les solutions avancées. Explications.

Suède, Finlande : quand les modèles éducatifs s’embourbent dans le marché scolaire

Petit à petit, depuis vingt ans, l'enseignement suédois a perdu son statut de système éducatif égalitaire : la ségrégation sociale et les inégalités de...

Notre étude sur les inégalités sociales scolaires en 15′ à l’écran

Le 6 mars dernier, la chaîne d'information LN24 a invité Nico Hirtt pour présenter la dernière étude de l'Aped sur les inégalités scolaires en...

22/04 : Colloque « Une place pour chaque enfant dans une bonne école »

La ségrégation sociale est l'une des grandes plaies de l'enseignement belge. Comment empêcher la formation d'écoles-ghettos et les inégalités d'apprentissages qui en découlent ? Comment garantir...

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