Les chiffres qui condamnent la politique éducative sarkozyste

Une étude comparative sur les systèmes éducatifs européens apporte désormais la preuve irréfutable que les réformes annoncées par le gouvernement de Nicolas Sarkozy - assouplissement de la carte scolaire et suppression du collège unique - conduiront à une augmentation catastrophique de la fracture sociale dans l'enseignement français.

Les ordinateurs diminuent la qualité des apprentissages

Une étude britannique, réalisée par la Royal Economic Society, semble démontrer que l'utilisation des ordinateurs en classe ne serait pas favorble, mais défavorable aux...

France : « Si Macron repasse, j’arrête »

Le SNUipp-FSU, premier syndicat des enseignants du primaire français, a mené l’enquête : plus de la moitié des professeurs des écoles envisagent d’arrêter. Nombreux...

Les horreurs de Nicolas Sarkozy

Le ministre français de l’Intérieur, Nicolas Sarkozy, prend depuis quelques semaines la pose de la victime parce que son nom est cité dans une...

Israël détruit un logiciel éducatif palestinien

Il y a environ deux ans, nous avons commencé à travailler à la production d'un logiciel éducatif consacré aux sciences et aux technologies, appelé...

Il y a 25 ans : la grève historique de 1996

C’était il y a 25 ans. Le dernier grand mouvement social à avoir secoué l’enseignement belge, côté francophone. Des dizaines de manifestations, des mois...

Grève de la faim de Roland Veuillet

Roland VEUILLET, CPE, militant syndical, a été sanctionné très lourdement pour ses prises de position syndicale pendant la grève de 2003. Il s’était opposé...

L’éducation européenne est-elle soumise au marché du travail ?

Comment les évolutions du marché du travail influencent-elles l’enseignement ? L’appel lancinant du patronat à plus d’adaptabilité de l’école et de son produit, le jeune employable, reflète-t-il une vraie évolution du marché du travail ? Le patronat forme-t-il un seul bloc ? Ou bien est-il traversé par des contradictions, des rapports de force, certains secteurs ayant des intérêts différents des autres ? Comment se fait-il qu’autant de relais pédagogiques, même de gauche, aient plongé à pieds joints dans l’approche par compétences, alors qu’on ne peut les soupçonner de collusion avec le « grand capital » ? Autant de questions formulées d’entrée par Nico Hirtt[[Aped, voir par ailleurs son intervention en plénière : « Compétences et compétition : deux formes de la dérégulation de l’enseignement en Europe » ]], et qui allaient donner lieu à des échanges palpitants avec Mateo Alaluf[[Mateo Alaluf est sociologue, Docteur en sciences sociales et professeur ordinaire à l'Université libre de Bruxelles, spécialiste des questions relatives à l'emploi, à la qualification du travail et aux rapports entre formation et emploi.]] et Christian Laval[[FSU et Attac, France, voir par ailleurs son intervention en plénière : « Comment la Commission européenne a imposé son agenda néolibéral à l’école »]].

Flandre : Saisis ta chance !

Le nombre d’étudiants d’origine étrangère qui suivent une forme quelconque d’enseignement supérieur est, en Flandre, inférieur à 2 %. Pour remédier à cette situation,...

France : la Cour des Comptes fustige de nouveau les politiques d’enseignement

Par le passé, la Cour des Comptes avait déjà tiré la sonnette d’alarme sur les effets dévastateurs de la politique d’enseignement du gouvernement sous...

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