Forum des délégués de classe

Le 20 février 2013, l'asbl Jeune Et Citoyen vous invite à son Forum des délégués de classe. Vous êtes professeur, éducateur, préfet...? Vous êtes impliqué...

Enseignement secondaire, une mue progressive et insidieuse

Le Rénové, initié dans les années ’70, reste la dernière refonte ambitieuse de l’enseignement secondaire en Communauté française de Belgique. Ce qu’il avait de meilleur a été cassé par les mesures d’austérité prises dans les années ’80 et ’90. Depuis lors, on assiste plutôt, d’une part, à une succession de déclarations de pieuses intentions (décret Missions, Contrat pour l’Ecole), et, d’autre part, à des réforme(tte)s qui semblent très disparates. Que peuvent bien avoir en commun, en effet, des mesures aussi différentes que la réforme du premier degré (autour d’un tronc commun jusqu’à 14 ans), l’approche par compétences, la discrimination positive, le décret inscriptions, l’immersion linguistique, les classes-passerelles, la certification par unités (CPU), la multiplication des évaluations externes – certificatives ou non -, l’extension des CEFA, les dispositifs d’accrochage scolaire et le développement des Centres de technologies avancées ? Petit à petit[[Il y a cette tendance des pouvoirs publics à procéder par « expériences pilotes », puis à imposer une généralisation de la réforme (c’est le cas avec les CPU, d’abord testées auprès des mécaniciens automobiles et métiers de l’esthétique).]], pourtant, toutes participent d’un remodelage d’autant plus pernicieux qu’il se fait au coup par coup et que sa logique n’est guère apparente. Dans cet article, nous ferons le point sur quelques-unes de ces mesures… et tâcherons de mettre à nu les logiques sous-jacentes qui les sous-tendent.
Epreuve de français du CESS

Epreuve de français du CESS : peut (beaucoup) mieux faire…

L’épreuve externe de français pour l’obtention du CESS dans le qualifiant s’est déroulée ce jeudi 16 juin et ne sera pas épargnée par les...

Pour une autre politique des chemins de fer en Belgique

Plusieurs dizaines de personnalités et d'organisations viennent de publier cet appel à une nouvelle politique de service public dans les chemins de fer belges. L'Aped a décidé de s'associer à cet appel.

Les enfants ont tous droit à l’instruction

En réponse à une "Carte Blanche" publiée dans le Soir et écrite par Yves Herpoel et Marc Vandeburie, notre ami J.P. Kerckhofs s'est fendu d'une réponse que le grand quotidien vespéral bruxellois n'a pas cru devoir publier. Nous vous la livrons.

Communiqué de presse de l’Aped sur le Pacte d’excellence

L'Aped a analysé le document de synthèse du Pacte pour un enseignement d’excellence et des douze balises formulées par la ministre Milquet. L'analyse complète est ici. Et ci-dessous vous pouvez lire le communiqué de presse diffusé par notre association.

Ségrégation scolaire : la faute au marché plus qu’au quartier

Les opposants aux politiques de régulation des inscriptions scolaire avancent généralement un argument massue : si l’on privilégie une école de proximité, alors les enfants de milieux populaires seront encore davantage confinés dans des écoles ghettos. Cet argument vole en éclats à la lecteur de l’étude intitulée « La ségrégation scolaire, reflet déformé de la ségrégation urbaine », que Bernard Delvaux et Zliz Serhadlioglu publient dans le numéro d’octobre des Cahiers du Girsef. Leur travail constitue d’ores et déjà une contribution scientifique essentielle à la lutte contre les effets néfastes des marchés scolaires.

Leerkrachten manifesteren tegen besparingen (20 april 2005)

Onder de slogan "onderwijs verdient beter" manifesteerden op woensdag 20 april de onderwijsvakbonden (COC, ACOD, VSOA) tegen de besparingen in het Nederlandstalig onderwijs. De besparingen behelzen minstens 1300 voltijdse ambten vanaf 1 september.

Trop cher notre enseignement ?

(Cet article a été publié en Carte Blanche dans Le Soir du 17 juillet 2014) Le professeur Robert Deschamps dresse un constat[[Cahiers de Recherches du CERPE n°74]] inquiétant : l’enseignement francophone belge serait l’un des plus coûteux au monde, pour une efficacité déplorable (Le Soir du 9 juillet). Si je peux le rejoindre sur la deuxième partie de cette affirmation — même si nous n’aurons sans doute pas la même lecture des dysfonctionnements à corriger et encore moins des remèdes à apporter — je me dois en revanche de réagir et de m’inscrire en faux contre l’affirmation selon laquelle notre enseignement serait trop dépensier.

Avis de (très) mauvais temps !

La grève et la manifestation du 5 mai avaient très largement dépassé les espérances des directions syndicales. Trêve de fin d’année et vacances bien méritées derrière nous, le constat reste le même : ça va mal, très mal, et la situation va encore s’aggraver. Faut-il nous y résigner ? Que non ! L’heure est (re)venue de nous mobiliser. Car nous pouvons changer le cours des choses.

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